La ville de Bitam connait actuellement une hausse de tension politique non négligeable que les profanes ne sauraient comprendre. Le week-end écoulé, cette agitation a crée une onde choc séismique inquantifiable à l’échelle de Richter a dans les réseaux sociaux.
Le puissant Maire de la Commune de Bitam, Jules Mbele Assecko de ce que nous savons a engagé de grandes réformes dans le management de cette municipalité depuis qu’il a été installé dans cette fonction et ceux qui ont fait le tour dans cette ville ont pu le constater d’eux même.
De la propreté de la ville, a l’aménagement des trottoirs, en passant par la revalorisation des salaires des agents municipaux, Jules Mbele Assecko ne ménage aucun effort pour traduire en acte, le plan d’accélération de transformation (PAT), cher au Distingué Camarade Président Son Excellence Ali Bongo Ondimba, base sur laquelle il a été élu Maire de la Commune de Bitam. A travers une planification stratégique et une rigueur sacerdotale dans la gestion des finances, il a su optimiser le budget municipal, de 260 millions FCFA, ces 30 dernières années à 500 millions FCFAactuellement. Un sot quantitatif majeur du simple au double, qui facilite avec force et vigueur l’exécution des missions régaliennes de la Mairie de Bitam. Et les populations résidentes en sont fières et lui promettent un soutien indéfectible lors des prochaines élections de 2023.
Fondateur du Lycée Privé qui porte son nom, auquel s’ajoute son établissement bancaire la SODEC, puis des complexes Hôteliers Hibiscus, la capacité financière non négligeable de ce Membre du Bureau Politique du PDG l’amène parfois à s’investir personnellement auprès des populations pour optimiser l’impacte social de la politique du Distingués Camarade Président.
Sur Fonds Propres, et ce depuis son installation à la tête de la Mairie, ce promoteur de « l’Excellentiat Jeune» a instauré le prix de l’Excellence, pour primer chaque année les meilleurs élèves des Lycées et Collèges de Bitam, au-delà des prix accordés à chaque bacheliers ayant obtenu 12/20 de moyenne à l’examen, sans oublier la prise en charge de la scolarité annuelle et des fournitures de cinq élèves issues des familles économiquement faibles. A cela s’ajoute, sur le plan social, la prise en charge, des frais médicaux des personnes du 3ème âge, répertoriées dans la Commune de Bitam. Par ces quelques actions évoquées, nous comprendrons aisément que Jules Mbélé Assecko, fait de la politique, un facteur de développement, au-delà de voir en cela, une opportunité de démonstration de la confiance placée en lui, par les populations et le Distingué Camarade Président, Son Excellence, Ali Bongo Ondimba. Et l’opposition est effrayée par les actions de l’homme, qui leur démontre de jours en jours qu’il, est une véritable bête politique qui règne en maître dans la ville de Bitam.
Il soutient les jeunes, les commerçantes, et les jeunes filles mères qui se lancent dans des Activités Génératrices de Revenus.
Par sa rigueur et sa détermination à réussir dans la gestion des affaires, Jules Mbélé Assecko, au-delà d’augmenter le capital confiance des populations de Bitam vis à vis du Parti Démocratique Gabonais, en vue des prochaines élections, veut marquer d’une pierre blanche, son passage à la Mairie de Bitam. Mais au regard de la cabale médiatique que ce dernier subit ces derniers temps, on peut se donner à penser que sa puissance et sa fierté dérange plus d’un, particulièrement certains cadres de son parti politique, à la chasse des primes du francs électoral. Car il met en mal leur objectif de gérer la campagne de 2023.
Les hommes sont par nature hostiles aux réformes, ils n’aiment pas quand certains réussissent là où plusieurs ont échoué.
L’éviction du 3eme Maire adjoint de la commune de Bitam est l’événement qui vient mettre le feu aux poudres.
Il faut rappeler que lors du changement de dénomination du parti politique Héritage et Modernité, en Rassemblant pour la Patrie et la Modernité, cette mutation a eu une incidence politique sur un élu (le 3éme maire adjoint) pris dans l’étau d’une lois qui dit qu’un mandat électif appartient à un parti politique et non à un individu. Il est donc normal que le mandat électif de ce dernier soit remis en cause vu que le 3ème Maire adjoint avait présenté sa candidature au poste qu’il occupe sous la bannière du Parti Héritage et Modernité, et non Rassemblement pour la Patrie et la Modernité.
A cet effet, étant donné le caractère synallagmatique du contrat, qui se créé entre un membre et un parti politique, à partir de la signature d’une fiche d’adhésion, le changement de nom d’un parti politique entraîne, avec un effet immédiat, la rupture tacite du contrat qui liait le 3ème Maire adjoint à son parti politique Héritage et Modernité.
Aussi, la recevabilité de la requête portée devant le Conseil Municipal de la Mairie de Bitam en ce qui concerne la remise en cause du Mandat du 3eme Maire adjoint au maire, ajouté au comportement irresponsable et indigne dont ce dernier a fait montre à l’endroit de ces collègues en confondant la Mairie de Bitam à un ring de boxe est clairement établie.
L’incident causé par l’évincement du 3eme Maire adjoint de la commune de Bitam profite aujourd’hui à certains individus de ternir l’image du Maire de Bitam, mettant ainsi en cause, le respect de la discipline du parti, par certains responsables du PDG.
Nous allons y revenir avec force et plus de détails
Alfred Nguia Banda Ali Agbar Azizet Ali Bongo Annie Léa Meye Bertrand ZIBI ABEGHE billie by nze Bitome Bung Pinze Christian Mermance N'NANG NSOME Démocratie Edgar Yonkeu foncier france gabon Gervais Oniane Gsez HAC Jean Christophe Owono Nguema jean Paul Ngoulakia Jean Ping Luc Bengono Nsi Masque Fang Mathias Otounga Ossibadjouo Musique gabonaise Ndong Mboula New-York Oceni olam Oligui ONU opposant opposition Oyem Paul Biya Prison centrale de Libreville SEEG Setrag Sima Mboula Sossa Sétrag transition Ze la panthère ZIBI ABEGUE BERTRAND Zibi Bertrand Zita Oligui Nguema