Le Président Ali Bongo a pris part au sommet États-Unis-Afrique qui s’est ouvert ce mardi 13 décembre à Washington. Au cours de son intervention, le Chef de l’Etat Gabonais a une fois de plus plaider en faveur la lutte transcontinentaux contre la criminalité liée aux espèces sauvages : une plaidoirie ridicule pour un chef d’Etat incapable d’accélérer l’intégration économique nationale de son pays afin d’offrir le strict minimum à son peuple comme le souligne ci-dessous un internaute.
Lu pour vous :
‘’Voilà un pays qui peine à construire des infrastructures routières pour accélérer l’intégration économique nationale, qui peine à construire des écoles, des universités de qualité pour mieux éduquer localement sa jeunesse, pareil pour la santé, le logement et l’autosuffisance alimentaire (avec une agriculture très insignifiante au regard de l’immensité des terres arables et dont les produits d’importation grève plus d’un tiers du budget de l’Etat). C’est plus que ridicule de venir plaider la conservation des espèces sauvages au Gabon, où elles ne sont guère menacées d’intinction vu la très faible population et son faible impact sur les écosystèmes. C’est plutôt les dégâts écologiques occasionnés par les multinationales pétrolières étrangères qui sont un vrai un danger. Pour ça il suffit d’appliquer une règlementation ou voter des lois très dures en la matière au lieu d’être complaisants parce qu’on a des participations dans ces groupes et laisser les ONG seules tirer sur la sonnette d’alarme.
Aller à Washington pour évoquer des tels sujet est déplorable pour le Gabon. On se demande vraiment qui entoure ALI BONGO. Ce n’est pas en jouant le monsieur environnement de l’Afrique qu’il sera respecté. Pour l’être par les Occidentaux il faut socialement, économiquement et même politiquement amorcé le développement réel de son pays, à l’image un peu de KAGAME (malgré son retard sur le plan politique). Tout le reste est pure rêverie et n’aura aucun impact sur les populations. Tant qu’elles seront désœuvrées, sans ressources, affamées et mal soignées, elles utiliseront tous les moyens possibles pour survivre. Ce n’est pas compliquer à comprendre mes chers membres du gouvernement et conseillers du Prince. Apprenez à regarder vos problèmes en face au lieu de croire qu’il existe des problèmes communs avec le même degré d’acuité pour tous, erreur. On voit bien ce qui se passe durant les fameuses COP, certains grands pays n’en ont rien foutre des résolutions qui sont arrêtées.’’