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Gondjout atomise le PDG : « un parti déchu qui rôde comme un zombie »

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Le ministre de la Communication et candidat de l’Union Démocratique des Bâtisseurs (UDB), Paul-Marie Gondjout, a choisi de parler clair. Sa déclaration, cinglante et sans concession, vient en réponse directe à une série de sorties malhonnêtes des hiérarques du Parti Démocratique Gabonais (PDG). Ces derniers s’évertuent à semer la confusion dans l’esprit des électeurs, à commencer par la secrétaire générale du parti, Angélique Ngoma, qui a osé déclarer :

«Pour avoir eu pour candidat à la présidentielle, le président actuel Brice Clotaire Oligui Nguema, je puis donc, avec votre bénédiction, affirmer que nous sommes tous les candidats du président. »

Une affirmation grotesque, relayée et répétée par d’autres figures du PDG comme Camélia Ntoutoume et bien d’autres encore, chacun y allant de sa pirouette rhétorique pour faire croire que le PDG resterait la courroie politique du Chef de l’État. C’est dans ce contexte de mensonge organisé que Gondjout a décidé de frapper fort, balayant d’un revers de main ces manipulations.

«Je suis surpris d’entendre les déclarations d’un parti déchu, affirmant que ses candidats seraient ceux du Président de la République. »

Le mot est lâché : parti déchu. En d’autres termes, une momie politique, une relique qu’on croyait rangée au cimetière de l’Histoire, mais qui tente de se faufiler à nouveau dans la maison République. Le PDG ressemble à ces zombies de série B : incapable de créer, incapable d’innover, mais toujours prêt à venir contaminer les vivants en se collant à leur énergie.

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«Le Président de la République n’a qu’un seul parti : l’UDB. Il ne s’est pas engagé en vain, il l’a fait pour porter et accompagner sa politique. »

Ici, Gondjout nettoie le terrain. Pas de doute possible : l’UDB est le véhicule politique du Chef de l’État. Tout le reste, c’est du recyclage, de la camelote, du vernis qui cache mal les cadavres politiques du passé. Le PDG, en tentant de s’accrocher au Président, ressemble à un parasite accroché à un corps sain. Mais comme tout parasite, il finira écrasé par l’immunité politique d’un peuple qui n’en veut plus.

«Vouloir, après avoir été éconduit, revenir par la fenêtre est la pire des choses : c’est une véritable escroquerie politique. »

Le terme escroquerie est ici parfaitement choisi. Car oui, le PDG est l’escroc de la mémoire nationale. Rejeté par la grande porte, il tente de ramper dans les fissures comme un rat affamé. C’est pathétique, grotesque et indécent. Gondjout met le doigt sur l’arnaque : essayer de faire croire aux Gabonais que le Président Oligui aurait plusieurs casquettes politiques. Non, il n’en a qu’une, et elle s’appelle UDB.

«Il est donc nécessaire de fixer les Gabonais et de dissiper toute ambiguïté. Oui, le Président est le chef de tous les Gabonais, mais politiquement, ses candidats sont bel et bien ceux de l’UDB. »

Ici, Gondjout fait œuvre de pédagogie. Le Président appartient à tous, certes, mais politiquement il n’a qu’une famille : l’UDB. Toute autre prétention est une imposture, une mise en scène grotesque digne d’un carnaval macabre où les zombies du PDG tentent encore de danser malgré leurs os brisés.

«Les choses doivent être claires : les Gabonais ont tourné la page. Il faut désormais veiller à ce que cette page reste définitivement tournée, afin de poursuivre sereinement la politique du Chef de l’État. »

Clair et net : la page du PDG est non seulement tournée, mais brûlée, réduite en cendres. Les Gabonais l’ont jetée à la poubelle de l’Histoire. Vouloir la rouvrir, c’est comme essayer de lire un livre moisi dévoré par les termites : une perte de temps. Gondjout exhorte à la vigilance : ne pas laisser les morts-vivants du PDG hanter à nouveau le présent, car c’est en regardant devant que le Gabon pourra avancer.

Ce que Gondjout révèle, avec une précision chirurgicale, c’est la dangerosité du PDG : ce n’est plus un parti, c’est une illusion, une ombre, une escroquerie. À force de chercher à se greffer à la vitalité du Chef de l’État, le PDG se ridiculise et démontre son incapacité à renaître par lui-même. En parlant d’« escroquerie politique », Gondjout traduit ce que beaucoup de Gabonais pensent tout bas : assez de ces vampires politiques qui ont déjà saigné le pays pendant plus d’un demi-siècle. Le peuple a chassé ces imposteurs par les urnes et par la rue, il serait criminel de leur permettre de revenir déguisés en faux soutiens du Président.

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Avec cette sortie, Gondjout n’a pas seulement recadré le débat. Il a ouvert une tranchée claire entre les vivants et les morts. Entre ceux qui construisent (l’UDB) et ceux qui parasitent (le PDG). Le message est brutal, mais nécessaire : le PDG n’est plus qu’un zombie politique. Et comme tout zombie, il finira abattu par la lucidité et la vigilance d’un peuple qui refuse d’être à nouveau mordu.

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