Dans une nouvelle volte-face politique qui nous laisse tous étourdis, le flamboyant Zibi Bertrand a encore frappé ! Après avoir jeté son écharpe d’élu aux pieds d’Ali Bongo il y a 7 ans, le député de Minvoul a décidé de jouer un nouveau tour de magie en retirant sa candidature à l’élection présidentielle. Mais ce n’est pas tout ! Il annonce fièrement qu’il soutiendra le candidat choisi par l’opposition. Avec Zibi, on ne sait jamais à quoi s’attendre, et il est clair que la politique gabonaise ne connaîtra jamais l’ennui avec lui.
Le Tourbillon politique de Zibi Bertrand : Zibi Bertrand, cet homme politique au tempérament fougueux et à l’audace sans limites, refuse catégoriquement de se faire marcher sur les pieds. Lorsque Ali Bongo a osé passer dans sa circonscription électorale, notre cher Zibi n’a pas hésité à démissionner du PDG (Parti des Discours Gélatineux), en jetant son écharpe parlementaire aux pieds du président. Une déclaration fracassante qui a fait trembler l’establishment politique !
Après avoir passé un séjour inoubliable derrière les barreaux pour s’être allié à l’opposant redoutable Jean Ping, Zibi Bertrand ne recule devant rien pour se débarrasser du pouvoir Bongo. Cette fois-ci, il a osé poser sa candidature à la présidence, déterminé à défier celui qu’il a juré de chasser du pouvoir. Et pour faire de sa campagne une réussite, notre aventurier politique a fait le tour de l’Europe et des États-Unis, rencontrant les grands dirigeants d’organismes internationaux. Rien de moins !
Mais voilà que Zibi Bertrand, tel un funambule politique, décide de se retirer de la course présidentielle alors que tout semblait lui sourire. Ce retrait stratégique fait de lui un véritable faiseur de roi, prêt à peser de tout son poids pour contribuer à la victoire d’un camp. Certains observateurs, cependant, pensent qu’il est encore trop tôt pour qu’un candidat abandonne avant même que son dossier soit validé. Il se pourrait bien que le retrait de Zibi Bertrand cache encore bien des mystères et des acrobaties politiques à venir.
Quoi qu’il en soit, avec Zibi dans les parages, la politique gabonaise n’est définitivement pas un cirque sans clown. Ce personnage haut en couleur et plein de surprises continue d’ajouter une touche d’humour et de fantaisie à un paysage politique souvent austère. On se demande bien quelle sera sa prochaine pirouette, mais une chose est sûre : avec Zibi Bertrand, le spectacle ne fait que commencer !
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