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À Bitam, les attaques et les fake news orientées contre une figure politique témoignent clairement d’un seul fait : les actions qu’il entreprend répondent aux attentes de la population et génèrent une satisfaction visible.
Depuis le Coup de la Libération du 30 août 2023, Son Excellence le Général de Brigade Brice Clotaire Oligui Nguema, Président de la Transition et Président de la République, a nommé des hommes de mission à la tête de chaque Conseil Municipal et Départemental. C’est à M. Jean Michel Edou Sima que la responsabilité de la Commune de Bitam a été confiée. Et ce choix, au vu des actions entreprises depuis sa prise de fonction, a redonné au peuple des STATES toute la confiance qu’il avait perdue envers ses responsables politiques.
Lorsqu’un nouveau dirigeant prend les rênes d’une administration, un examen minutieux de son style de gestion s’impose. Les citoyens et collaborateurs s’empressent de comparer les réalisations de son prédécesseur à celles de son successeur, évaluant l’efficacité, les compétences et la vision de ce dernier. Les habitants de Bitam, habitués à cet exercice, n’ont pas tardé à juger les résultats de M. Edou Sima.
Avec une expérience probante dans cette fonction, Jean Michel Edou Sima s’est imposé comme un manager rigoureux, pragmatique et profondément attaché à sa ville natale. En succédant à Jules Mbélé Asseko, un maire dont les services ont été salués par de nombreuses distinctions, Jean Michel devait relever un défi de taille. Il ne s’agissait pas simplement de faire comme son prédécesseur, mais de faire mieux, de justifier la confiance placée en lui par le Président de la Transition et de concilier son action avec la vision de redonner dignité au peuple gabonais. Il faut l’avouer, le passage de Jean Michel Edou Sima à la mairie de Bitam est un véritable « coup de maître ».
Ci-dessous, Jean Michel Edou Sima

Les réalisations de la commune de Bitam
Assainissement de la ville de Bitam
Si nous devions effectuer une analyse comparative, il est indéniable que sous Jules Mbélé Asseko, la ville de Bitam était propre. Mais aujourd’hui, sous la conduite de Jean Michel Edou Sima, Bitam est devenue resplendissante et éblouissante.
L’assainissement est le premier défi auquel tout responsable municipal doit faire face. C’est un travail permanent visant à garantir un environnement sain et à préserver l’hygiène de vie des habitants. Jean Michel Edou Sima a véritablement réussi à instaurer une dynamique de propreté sans relâche. De la collecte des ordures à l’entretien des espaces verts, en passant par l’embellissement des édifices publics, Bitam rayonne à toute heure. Grâce à une réorganisation urbaine des zones commerciales et à une vigilance constante de sa part, la ville n’a jamais été aussi propre. Ce souci du détail montre un homme qui sait qu’il doit réussir sa mission pour justifier la confiance placée en lui par les autorités de la Transition.
Dotation en matériel
Depuis son arrivée, Jean Michel Edou Sima a su prouver que la ville de Bitam bénéficiait désormais de l’attention des autorités du CTRI. Historiquement, Bitam était souvent oubliée dans la distribution de ressources matérielles. Mais depuis son mandat, Jean Michel a réussi à attirer les faveurs de l’État, qui a doté la commune de matériel lourd et léger, ainsi que d’un bus Coaster pour la municipalité. Ce geste symbolise non seulement un changement de politique mais aussi la reconnaissance du pouvoir de la Transition envers Bitam. Ces acquisitions, bien que louables, ne sont pas systématiques à travers le pays, et nous exprimons notre gratitude envers le Président de la Transition et toutes les autorités concernées.
Le pavoisement de la ville et la modernisation de la mairie
La célébration de l’Indépendance et le 30 août 2024 ont été marqués par un pavoisement spectaculaire de la ville de Bitam. Les projecteurs LED 360°, installés dans certaines capitales provinciales du Gabon, ont illuminé la ville d’une manière telle que l’on pourrait croire être à Libreville.
Mais l’impact de Jean Michel Edou Sima ne se limite pas à l’embellissement urbain. La modernisation du siège de la mairie et la réorganisation des services aux usagers sont des réalisations qui témoignent de sa volonté d’améliorer la vie quotidienne des Bitamois. Les espaces de travail ont été réaménagés, et les délais pour accomplir les formalités administratives sont désormais considérablement réduits. Le parking pavé de la mairie est une autre avancée significative qui a mis fin aux problèmes de boue et d’eau stagnante.
Bitam et son identité : BITAM ANE STATES
La ville de Bitam s’affiche aujourd’hui comme une véritable légende urbaine, incarnant à la fois modernité et dynamisme. Le concept de BITAM ANE STATES est désormais gravé dans l’esprit des Gabonais, et Jean Michel Edou Sima en est l’incarnation vivante, à l’image des figures de proue du passé comme Ebouma Kekah dans les années 1960 et le Quartier Latin dans les années 1990.
Le pragmatisme déstabilisant du Délégué Spécial de la Transition
La Transition a révélé une réalité frappante : ce qui semblait impossible est désormais réalisable. Ce que certains qualifiaient de tâche insurmontable n’était qu’une question de volonté et de priorités. Jean Michel Edou Sima incarne parfaitement ce changement. En un temps record, il a accompli ce que de nombreux prédécesseurs n’ont pas pu réaliser, malgré leurs mandats et moyens. Son pragmatisme met en lumière l’incapacité et la mauvaise gestion de ceux qui l’ont précédé.
Il est gênant de constater que, même avec les mêmes ressources et pouvoirs, les précédents responsables n’ont pas réussi à faire progresser la ville comme Jean Michel l’a fait. Ce contraste rend d’autant plus dérangeant l’échec de ses prédécesseurs, car son pragmatisme montre la voie d’une gestion efficace et responsable. Et c’est dans ce contexte que Jean Michel Edou Sima s’impose comme une figure influente, car ses actions, qui suscitent la fierté des habitants, assurent sa popularité et son influence politique grandissante. À force d’accomplir ce qu’il fait, il devient un leader d’opinion, capable de modeler les perspectives de la population.
Il est donc « gênant », non parce qu’il agit mal, mais parce que son pragmatisme remette en cause une classe politique déconnectée des réalités du peuple. Ce qu’il accomplit aujourd’hui démontre la faillite d’un système politique en fin de cycle, un système qui a abusé du peuple au lieu de travailler pour lui. Et ce n’est qu’une question de temps avant que ces figures politiques disparaissent de la scène, comme le rappelle le dernier discours du Président de la Transition.
Par Teale Mve Ondo, Expert en intelligence, communication et marketing politique.