Agression sexuelle sur mineur à la Mission Catholique d’Edonguila : le silence complice de l’abbé

La Mission Catholique d’Edonguila, autrefois réputée pour son engagement éducatif et moral, est aujourd’hui entachée par un scandale d’une gravité sans précédent. Un acte d’agression sexuelle impliquant deux mineurs a récemment été révélé, exposant non seulement des dysfonctionnements graves dans la protection des enfants, mais également une tentative de dissimulation par un responsable de la mission.

C’est lors d’une visite à son fils A.A.T pensionnaire de cet établissement, que monsieur H.E.A a découvert l’ampleur du drame. Son fils de 7 ans, victime d’attouchements forcés et de tentatives de pénétration de la part d’un élève de 12 ans, a trouvé le courage de confier son calvaire à son père. Le jeune garçon affirme avoir informé l’abbé , mais ce dernier n’a pas pris les mesures nécessaires pour protéger la victime et prévenir d’autres actes.

Ce silence coupable l’abbé , face à des faits aussi graves, est une trahison des principes fondamentaux que cet établissement est censé incarner. Non seulement l’enfant n’a pas été protégé, mais l’agresseur a également eu la possibilité de le menacer et de le violenter à plusieurs reprises pour étouffer l’affaire.

En tant que société, nous ne pouvons tolérer un tel manque de réaction de la part de ceux qui sont chargés de veiller sur nos enfants. L’omerta qui entoure cette agression est inacceptable. Il est de la responsabilité de l’institution d’assurer la sécurité et le bien-être de ses pensionnaires, et toute tentative de dissimuler des abus constitue une faute morale et légale d’une extrême gravité.

Monsieur H.E.A a décidé de porter plainte contre la Mission Catholique d’Edonguila ainsi que contre le jeune agresseur. Nous saluons cette démarche courageuse et appelons les autorités judiciaires à agir avec toute la rigueur nécessaire. Le silence ne doit jamais couvrir les crimes. Il est impératif que la lumière soit faite et que justice soit rendue à la victime.

La Mission Catholique d’Edonguila doit répondre de ses manquements, et il est temps que des mesures strictes soient prises pour éviter que de telles horreurs ne se reproduisent. Le silence face à de tels abus ne fait que renforcer l’impunité et perpétuer la souffrance des victimes. Il est temps de briser ce silence.

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