Gabon : Le sang sur les mains – complice de meurtre, un soldat déshonore le CTRI.

Au lieu de répondre à l’appel de devoir, un militaire, un gardien soi-disant des valeurs de la nation, a pris une décision impardonnable. Avec un mépris total pour la vie humaine et un abandon total de son serment, il a offert un couteau à l’un des protagonistes, transformant ainsi une dispute juvénile en un acte de violence mortelle.

Cette trahison n’est pas seulement une aberration morale, elle est une insulte à la confiance que le peuple accorde à ceux qui portent l’uniforme. Plutôt que d’être un rempart contre le chaos, ce militaire s’est révélé être un agent du mal, une force corruptrice au sein même de nos institutions de sécurité.

L’ampleur de cette dépravation dépasse les frontières de Quartier Dragon. C’est un signal d’alarme pour toute la nation. Si ceux qui sont chargés de nous protéger sont eux-mêmes des fauteurs de troubles, alors où est la sécurité pour les citoyens ordinaires ? Comment pouvons-nous faire confiance à ceux qui devraient être nos gardiens ?

Le jeune homme est décédé quelque temps après avoir reçu un coup de couteau en plein cœur.

Ci-dessous, le militaire, un agent de la Garde Républicaine, est celui qui a fourni l’arme maitrisé par la foule .

Ce soldat, complice d’un meurtre, doit être soumis à la justice avec une sévérité implacable. Non seulement pour rendre justice à la victime innocente de cette tragédie, mais aussi pour restaurer ne serait-ce qu’une once de foi en nos institutions militaires et policières.

Le B2, chargé de punir les transgressions des militaires, doit agir avec la fermeté et l’intégrité nécessaires pour éradiquer cette gangrène de la corruption au sein de nos forces de sécurité. La punition de ce soldat dévoyé doit servir d’exemple, un avertissement clair à tous ceux qui pourraient être tentés de trahir leur serment et de violer la confiance du peuple.

Il faut que ceux qui portent l’uniforme se rappellent de leur devoir sacré envers la nation et le peuple qu’ils sont censés servir et protéger. L’heure est venue de restaurer la foi du public en nos forces de sécurité, en les purifiant des brebis galeuses qui les corrompent de l’intérieur.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *