Zita Oligui Nguema plaide pour une unité de prise en charge de la drépanocytose

Les assises scientifiques, honorées par la présence effective de la Première Dame, ont rassemblé des médecins, des chercheurs, des personnels de santé, et des acteurs sensibles à la cause de la drépanocytose. Consciente de l’impact de cette maladie sur de nombreux compatriotes, Zita Oligui Nguema a, dans son discours de circonstance, plaidé en faveur de « la mise en place d’une unité hospitalière de prise en charge globale et de suivi des patients ».

Cet appel de la Première Dame a été accueilli avec enthousiasme par une assistance composée de parents d’enfants drépanocytaires, de scientifiques, et de membres de l’ONG SCDOGa. Les patients eux-mêmes, malgré leurs souffrances, ont tenu à exprimer leur gratitude envers « maman Zita » en lui remettant personnellement un présent.

La présence de la Première Dame, du Ministre de la Santé, ainsi que celui de l’Économie et des Participations, à ce troisième congrès illustre l’engagement des plus hautes autorités gabonaises à promouvoir la lutte contre cette pathologie génétique et à offrir un soutien continu aux personnes qui en souffrent.

Cet élan de solidarité et cet engagement fort des autorités gabonaises augurent bien des avancées à venir dans la prise en charge de la drépanocytose, une maladie qui touche particulièrement la population gabonaise. Le plaidoyer de Zita Oligui Nguema pour la création d’une unité hospitalière spécialisée constitue une étape cruciale dans l’amélioration des soins et du suivi des patients atteints de cette pathologie.

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