Stempy Love OBAME de nouveau dans le ’’Game’’

Alors qu’on le pensait fini, Stempy Love Obame a réapparu sur la scène médiatique gabonaise à travers une émission qu’il anime sur une web TV locale, un retour qui se veut déterminant pour cet ex animateur vedette de la chaine de télévision nationale 1.

Bonjour Stempy. Tu viens de renouer avec le public à travers une émission que tu animes sur une web TV. Comment c’est arriver ?

Je voudrai d’abord remercier le magazine Super star pour ce plateau d’expression qu’il m’offre encore aujourd’hui.

Je suis heureux de retrouver mon public et mes fans à travers cette émission FACE À NOJO qui est une émission de débats politiques et des faits de notre société. L’idée est partie d’une collaboration avec un frère avec qui nous avons décidé de mettre sur pied cette Web TV qui s’appelle SERENITY NEWS.

Est-ce que ça voudrait dire qu’aucune chaine de télévision classique n’a voulu de toi ?

Je préfère rester sur ma web TV à cause de l’expérience vécue. Ne dit-on pas qu’un homme averti en vaut deux ?

 

Ou en es-tu avec le contentieux qui t’oppose avec ton ancien employeur, la RTC 1 ?

 En 2015 j’ai porté plainte contre mon ancien employeur après un licenciement abusif dont j’avais fait l’objet. Le tribunal m’avait donné raison en imposant à ce dernier de me payer les préjudices et les droits qui sont les miens, j’attends jusque-là, vous savez, nous sommes au Gabon.

 

Toujours bouche cousue au sujet de ton enlèvent et ta séquestration inégale ?

 Pas du tout, j’ai fait une vidéo sur Facebook pour expliquer les raisons de ma séquestration en exprimant mon pardon à l’endroit de tous ceux qui ont été à l’origine de cette dure et douloureuse épreuve. J’ai également remercié tous ceux qui ont soutenu ma famille et moi. Pour terminer, j’avais demandé réparation au chef de l’Etat, garant des institutions et chef de notre grand village parce-que L’État a fauté contre moi.

 

Tes prises de position sont de plus en plus politiques. Tu as des ambitions de ce côté ?

L’avenir nous dira, mais je continue à penser que dans ce pays il n’y a pas péril en la demeure, on peut encore et très rapidement sauver les meubles pour éviter des situations catastrophiques en y mettant un peu de volonté et un sens élevé du patriotisme.

 

Un dernier mot ?

Un très grand merci au magazine super star, et dire à la jeunesse gabonaise toute entière que nous serons demain ce que nous faisons aujourd’hui. Merci encore.

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