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Par notre rédaction
Il existe dans le paysage gabonais des figures aussi grotesques qu’inquiétantes. Wilfried Okoumba en est l’incarnation parfaite. Déserteur moral, fugitif familial, ancien tribun de la haine ethnique recyclé en donneur de leçons, cet individu a, une fois encore, sorti ses griffes rouillées pour s’attaquer à l’un des plus brillants cadres de la République : Sosthène Nguema Nguema.
Mais avant de prêter l’oreille à son délire radiophonique matinal, mettons les choses au clair : Wilfried Okoumba est un pyromane communautaire, un homme qui appelait il y a peu à l’extermination pure et simple du peuple Fang, sous prétexte que le pouvoir n’aurait jamais dû sortir de sa province d’origine. Un appel d’une gravité inouïe, digne des discours les plus sombres de l’histoire de l’humanité, que la justice gabonaise aurait dû traiter comme un crime contre la Nation. Et pourtant, dans un excès de grandeur, le Président de la Transition, Brice Clotaire Oligui Nguema, lui a tendu la main et lui a pardonné. Quelle erreur !

Car voilà Okoumba, désormais planqué à Blois-Sambourg, qui reprend du service, crachant de nouveau sur tout ce que la République compte de respectable. Il s’en prend aujourd’hui à Sosthène Nguema Nguema, un jeune cadre patriote, respecté dans le secteur minier, bâtisseur infatigable dont le cabinet a dirigé avec succès de nombreux projets au service du Gabon.
Qu’est-ce qu’Okoumba lui reproche ? Rien de concret. Que des rumeurs, des mensonges, de la calomnie pure. Et pour couronner le tout, une confusion volontaire de noms : dans son audio venimeux, il s’attaque à Sosthène Nguema Nguema, une personne manifestement inventée ou déformée, tout en mélangeant les accusations dans un brouet infâme de haine, de sexisme, de tribalisme et de règlements de comptes personnels.
Mais qui est Wilfried Okoumba pour juger qui que ce soit ?

Cet homme est accusé d’avoir dépouillé son propre père, avant de fuir la honte et les responsabilités en France. Il est également soupçonné dans une affaire d’homicide, et traîne dans son sillage un cortège d’ombres et de scandales. Sa parole n’a aucune valeur. Sa posture de « professeur engagé » est une imposture.
Sa seule arme : la haine tribale, celle-là même qu’il recycle dans chaque intervention. Il n’a jamais digéré que le Chef de l’État entretienne des liens avec les Fang, et chaque cadre Fang compétent devient pour lui une cible. Sa stratégie : salir, diviser, opposer les provinces, pour mieux exister.
Il est grand temps de le recadrer.
Le Gabon nouveau n’a pas besoin de ces charognards de l’exil qui, depuis leur confort européen, veulent incendier ce que d’autres s’efforcent de reconstruire avec honnêteté et courage. Nous devons protéger nos élites intègres, comme Sosthène Nguema Nguema, des attaques de ces minables manipulateurs qui n’ont jamais rien apporté au pays, sinon du venin.
Wilfrid Okoumba ferait mieux de balayer devant sa porte, de s’expliquer sur son passé criminel, et de rendre des comptes à sa propre famille avant de prétendre parler au nom du peuple gabonais.
La République n’est pas un ring pour frustrations mal digérées. Elle est un chantier pour ceux qui construisent. Et Wilfrid Okoumba n’est pas un bâtisseur. Il n’est qu’un imposteur dangereux.