Exilé en France depuis quelques années, l’ancien ministre devenu opposant, Séraphin MOUNDOUNGA a été annoncé comme mort, un décès qui serait survenu à la suite d’un suicide par pendaison, une information chimérique que vient de démentir son ami et frère Alfred NGUIA BANDA lui aussi, haut cadre de l’administration gabonaise exilé en France : « Mon ami Séraphin est bien vivant, en bonne santé et très déterminé à mener le combat épique qu’il a commencé. »
Ci-dessous, l’intégralité de sa déclaration :
« Depuis ce matin, une information imaginaire et très révulsant circule en boucle dans les réseaux sociaux annonçant la mort par suicide de mon ami Séraphin MOUNDOUNGA. Comme l’indique le syllogisme aristotélicien : » Tout Homme est mortel, or Moundounga est un Homme donc Moundounga est mortel ». MOUNDOUNGA, comme tout Homme, est appelé à mourir par la seule de volonté de Dieu et non de celle des esprits cracras et fangeux des Hommes.
Mon ami Séraphin est bien vivant, en bonne santé et très déterminé à mener le combat épique qu’il a commencé.
Combattons les autres par des idées, par des positionnements doctrinaux ou idéologiques et non par la haine et les baïonnettes qui sont l’incarnation de l’impuissance politique.
Moundounga, Homme politique talentueux, a respecté la doctrine Chevènement : » Un Ministre, ça ferme sa gueule ou ça démissionne « .
Alors laissez Moundounga tranquille. »
Alfred NGUI BANDA, exilé politique, France.