Par Rhonny Placide Obame, Directeur de Publication.
Je milite pour la mise en œuvre de l’application des mécanismes qui peuvent permettre aux artistes méritants de jouir de leurs oeuvres à travers le BUGADA.
Toutefois, je continue à le dire :
LES DROITS D’AUTEUR SEULS NE SORTIRONT PAS LA MUSIQUE GABONAISE DE LA LÉTHARGIE DANS LAQUELLE EST ENGLUÉE DEPUIS LONGTEMPS.
Mieux vaut donner au départ à un élève des outils scolaires ( livres , cahiers , stylos et autres ) afin de lui permettre de bien apprendre que de lui donner une bourse scolaire chaque trimestre.
LES DROITS D’AUTEUR :
Sans salles de spectacle ?
Sans structure de promotion ?
Sans école de formation ( conservatoires etc…)
Sans rencontres artistiques ( festivals etc…)
Sans concours pour récompenser les meilleurs afin de créer le culte de l’excellence .
SANS LA MISE EN PLACE DE TOUS CES OUTILS DE DÉVELOPPEMENT ARTISTIQUE , LES DROITS D’AUTEUR VONT ÊTRE UN SACRÉ GÂCHIS D’ARGENT POUR LES CONTRIBUABLES QUE LES GABONAIS ET AITRES À QUI L’ARGENT SERA PRÉLEVÉ À CET EFFET.
Oui aux droits d’auteurs, mais penssons d’abord à la formation puis, aux développement et la promotion d’une production de bonne qualité , capable de satisfaire le marché local et international.
Même Annie Flore , et Frédéric Gassita continuent d’apprendre.