Sacrifice de vies pour le profit : Les parlementaires gabonais s’associent à la mort en réduisant la taxe tabac
Dans un geste d’une gravité inouïe, les parlementaires gabonais ont approuvé une baisse de la taxe tabac dans le projet de loi de Finances 2024, révélant ainsi leur complicité dans un véritable crime contre la santé publique. Cette décision, qui met en péril la vie de milliers de Gabonais, expose l’inconscience choquante et la cupidité de nos autorités.
Contrairement aux prétendues justifications, cette initiative n’est pas le fruit de pressions extérieures, mais bien le résultat d’une action calculée des parlementaires eux-mêmes. En réduisant de moitié la taxe sur le paquet de cigarettes, ils ouvrent grand la porte à une augmentation de la consommation de tabac, tout en faisant fi des conséquences désastreuses sur la santé publique.
L’argument fallacieux d’une prétendue lutte contre la contrebande ne peut dissimuler la véritable motivation derrière cette décision : les intérêts financiers de l’industrie du tabac priment sur la santé et le bien-être des citoyens. C’est un acte de trahison flagrant envers la confiance du peuple gabonais, une preuve indéniable de l’allégeance servile de nos représentants aux intérêts économiques les plus sinistres.
Geoffroy Foumboula tente de minimiser l’impact de cette décision, mais son discours ne fait que souligner l’aveuglement volontaire de nos dirigeants face aux preuves accablantes des ravages du tabagisme sur la santé publique. La réduction de la taxe tabac est une déclaration de guerre contre la santé des Gabonais, une attaque odieuse menée au nom du profit et de l’avidité.
En priorisant les gains financiers au détriment de la vie humaine, nos parlementaires ont commis un crime contre leur propre peuple. Leur inconscience et leur indifférence face aux souffrances et aux décès causés par le tabagisme sont une tache indélébile sur la conscience nationale.
Il est temps que le peuple gabonais se lève contre cette injustice impardonnable. Les responsables de cette décision doivent être tenus pour responsables de leurs actes criminels. Il est impératif que cette politique meurtrière soit immédiatement annulée et que des mesures strictes soient prises pour protéger la santé et le bien-être de la population contre les intérêts égoïstes de l’industrie du tabac.
Le temps des excuses et des demi-mesures est révolu. Les autorités gabonaises doivent agir maintenant pour mettre fin à cette tragédie annoncée et pour restaurer la confiance du peuple dans leur engagement envers la santé publique. Le prix à payer pour leur complicité dans ce crime contre la santé publique sera lourd, mais c’est le devoir de chaque Gabonais de se dresser contre cette injustice et de demander des comptes à ceux qui ont trahi leur confiance et leur bien-être.