Dans son récent texte du jour, M. Petit-Lambert Ovono, Évaluateur Certifié des Politiques Publiques et Président de SOGEVAL,expose des arguments convaincants pour défendre le Directeur Général du Budget, M. Mintsa Mi Nguema Aurélien, face aux critiques émises suite à sa récente mission d’inspection. Nous examinerons attentivement les points soulevés par M. Ovono pour démontrer que les critiques envers le DGBFIP sont infondées.
Par Moudeuf de Dido-Balancia
M. Ovono a choisi de ne pas traiter cette critique, soulignant la sagesse de ne pas accorder du crédit à des spéculations basées sur des relations familiales. Cette décision peut être interprétée comme une prise de distance avec des éléments non pertinents pour évaluer la compétence et l’intégrité du DGBFIP.
M. Ovono estime que répondre à ces critiques n’en vaut pas la peine, laissant entendre que les critiques peuvent être motivées par des considérations géographiques ou ethniques. Cependant, il serait intéressant d’approfondir cette question pour s’assurer que le choix de la province est justifié par des besoins opérationnels plutôt que des motivations politiques.
La mission d’inspection du DGBFIP s’est concentrée sur les entreprises bénéficiaires des marchés publics plutôt que sur les travaux eux-mêmes. M. Ovono soutient que cela démontre une gouvernance plus transparente et responsable, soulignant la conformité statutaire du DGBFIP avec le Contrôle Budgétaire et des Marchés Publics. Il met en avant la réforme en cours sous la pression du FMI, indiquant une volonté de renforcer les mécanismes de contrôle.
M. Ovono souligne le rôle crucial du DGBFIP dans la révélation d’entreprises obtenant le « SERVICE FAIT » sans réaliser les travaux. Cela suggère une volonté de lutter contre la gabegie financière et le blanchiment d’argent public, soulignant la nécessité d’une gouvernance basée sur la transparence et la responsabilité.
L’analyse du texte de M. Ovono montre que les critiques envers le Directeur Général du Budget semblent manquer de fondement solide. Les actions de M. Mintsa Mi Nguema Aurélien, telles que la vérification des entreprises bénéficiaires des marchés publics, semblent s’inscrire dans une démarche de bonne gouvernance et de responsabilité. Cependant, il est essentiel de rester vigilant quant à la nécessité d’objectivité et d’impartialité dans les contrôles, conformément aux principes de transparence et de respect des droits des entreprises concernées.