Gabon : entre journalisme d’Investigation, manipulations politiques, Cash Moukouama et la réponse de David Mberakouma.

La scène médiatique gabonaise est en ébullition depuis quelque temps avec les attaques virulentes de Cash Moukouama Chamberlin, à l’encontre du chef de l’État gabonais Brice Clotaire Oligui Nguema. Accusations de tous genres, insinuations, et une rhétorique incendiaire ont marqué les vidéos de ce chroniqueur pluriel, alimentant ainsi les débats au sein de l’opinion publique. Cependant, des voix s’élèvent pour remettre en question la légitimité de Cash Moukouama et souligner ses éventuelles connexions avec des acteurs du pouvoir déchu.

Analyse de Moudeuf de Dido-Balancia

Cash Moukouama, autrefois animateur de l’émission  ’Plurielle’’ diffusée par la chaîne national 1 , est-il réellement un journaliste d’investigation cherchant la vérité, ou bien un cybercriminel menant des attaques orchestrées pour des intérêts cachés? La question mérite d’être posée, et certains affirment que ‘’monsieur Cash’’ aurait décidé de sacrifier sa crédibilité pour des motifs inavoués.

Les attaques de Cash Moukouama ne se limitent pas seulement au chef de l’État, mais s’étendent à la famille biologique du détenteur du pouvoir. Ces actions soulèvent des interrogations sur les motivations réelles de Cash et son objectif ultime. Est-il devenu un kamikaze médiatique, prêt à tout pour une notoriété éphémère?

Des rumeurs circulent, suggérant que Cash Moukouama serait la marionnette de certains membres du pouvoir déchu, agissant selon des intérêts particuliers. Ces allégations soulignent la nécessité pour Cash de faire preuve de vigilance et de retenue dans ses actions, afin d’éviter d’être manipulé par des forces qui cherchent à déstabiliser le pays.

Cash Moukouama a peut-être besoin de se réinterroger sur ses motivations profondes et de réfléchir aux conséquences de ses actions. Les Gabonais aspirent à un changement positif, et il est essentiel que les leaders d’opinion contribuent de manière constructive à la construction d’un Gabon nouveau.

Alors que Cash Moukouama continue ses attaques, il est impératif pour lui de prendre du recul et d’évaluer l’impact de ses actions sur la stabilité et l’unité du Gabon. La réponse cinglante de David Mberakouma souligne la nécessité pour tous les acteurs médiatiques de s’engager dans un dialogue constructif, évitant les dérives susceptibles de compromettre l’avenir du pays. En ces temps de transition, la responsabilité de tous les Gabonais, y compris les leaders d’opinion, est cruciale pour bâtir un avenir meilleur.

La réponse de David Mberakouma:

 »Cash Moukouama Chamberlin est-il réellement un journaliste d’investigation, un animateur de télévision, un chroniqueur invétéré, ou un cybercriminel?

La question vaut son pesant d’or. En effet, nous avons tous connu ce compatriote à l’émission plurielle avec son complice et compagnon de circonstance, Atiga, devenu directeur par la volonté du CTRI et exaltation d’une nouvelle ère, celle d’Oligui Nguema Brice Clotaire.

Cash Moukouama, sous le pseudonyme Chambertin, a décidé de détruire progressivement le capital social du chef de l’État gabonais, Brice Clotaire Oligui Nguema, l’accusant d’être à l’origine de tous les péchés mignons de Saturne et d’Uranus, en reproduisant les mêmes stéréotypes, actes manqués et réminiscences de notre passé monolithique.

Par ses attaques virulentes, ce cybercriminel aux mœurs dépravées ira-t-il plus loin? Aura-t-il choisi sciemment d’autres cibles, telles que la famille biologique du détenteur exclusif du pouvoir totalitaire, pour se forger une abyssale popularité à travers les réseaux sociaux, au risque et péril de sa vie? Notre chroniqueur pluriel serait-il devenu un kamikaze? Un fauteur de troubles?

Il semble que Cash Moukouama soit le fils d’une ancienne gendarmette dont la rigueur, l’éthique, l’écoute, la solidarité et la responsabilité étaient des valeurs cardinales qu’elle défendait farouchement dans l’exercice de ses fonctions.

Quelle est la véritable intention de Cash? Chambertin est-il conscient du fait que nous vivons dans un régime d’exception où toute riposte est scrutée à la lumière de la raison?

Certains prétendent que Cash Moukouama serait la proie, le pion de certains membres du pouvoir déchu Bongo/PDG, et que ce sont ses anciens « budgetivores » qui commanditeraient toutes ses actions afin de discréditer le CTRI aux yeux de l’opinion publique.

Notre jeune compatriote doit faire preuve de vigilance et de retenue prudente dans ses vidéos de plus en plus virales sur TikTok et Facebook.

D’ailleurs, il exige de la famille biologique d’Oligui Nguema Brice Clotaire une certaine exemplarité en se tenant à l’écart de toute activité susceptible de les mettre en lumière. Comment pourraient-ils éviter de se mettre sur orbite alors qu’ils ont des responsabilités au sein des organes décisionnels du CTRI?

L’exemple du directeur général du budget, qui a décidé par des opérations de contrôle de lutter contre les opérateurs économiques véreux qui n’aboutissent jamais à la fin de leurs engagements, laissant ainsi des éléphants blancs sur l’ensemble du territoire, est une parfaite illustration de cette gestion participative.

Le directeur général du budget, grâce à toutes ses prérogatives de puissance publique, a le droit de vérifier la conformité, la durée et la certification des entreprises adjudicataires des chantiers pour être en phase avec les nouvelles orientations du CTRI, ce que n’admet d’ailleurs pas le fils d’un ancien Premier Ministre dont le passage à la primature et à la mairie de Libreville a entraîné plusieurs casseroles d’une gestion eschatologique apocalyptique et catastrophique des deniers publics.

En résumé, le directeur général du budget joue parfaitement sa partition qui consiste à accélérer le rythme des chantiers pour les livrer dans les délais prévus à cet effet.

Alors que la plupart des Gabonais ont décidé d’accorder leur violon en apportant une aide réfléchie au général de brigade Brice Clotaire Oligui Nguema, président de la transition, Chambertin Moukouama Cash décide de suivre les commanditaires de ses attaques pour quelques subsides, prébendes, gargotes et beuveries.

Qu’est-ce qui n’a pas marché? Le pasteur exorciste Louis Mbadinga devrait s’intéresser au cas de ce compatriote afin de l’exorciser des démons tropicaux qui semblent jouer avec sa trajectoire destinale, au point de le faire oublier ses aspirations légitimes de départ, sa lucidité, sa rationalité et sa bonne foi. Qui vivra verra.

L’avenir radieux que de nombreux observateurs avisés promettaient à Cash semble se dessiner en pointillé, au point de se réduire progressivement en peau de chagrin.

Il est peut-être temps pour Chambertin d’observer une pause, car « nganga dansé dansé tu pauses un peu. »

Oligui Nguema Brice Clotaire est la parfaite représentation du leadership recherché par le peuple souverain afin de répondre à ses attentes et aspirations légitimes.

Par éthique, devoir et morale, les leaders d’opinion que nous sommes devront apporter leur modeste contribution à la construction de ce nouveau Gabon que nous attendons tous, pour que notre essor vers la félicité soit vécu par nos concitoyens comme une réalité et non comme un slogan baroque.

Aidons les autorités de transition à donner une nouvelle espérance aux populations en luttant contre les mauvaises pratiques qui tendent à désunir et à ruiner nos efforts communs.

Les mouvements séparatistes doivent être systématiquement combattus pour le confort et le bien-être du peuple. »

David Mberakouma

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