Une vidéo choquante circulant sur les réseaux sociaux a plongé le Gabon dans l’indignation et l’effroi. L’activiste infâme connu sous le nom de ‘Bandecon en Chef’ a mené une attaque honteuse et sans merci contre l’intégrité du président gabonais, Brice Clotaire Oligui Nguema. Les insultes proférées, d’une gravité inouïe, ont scandalisé la nation toute entière, et ont suscité une réaction immédiate.
Parmi les voix s’élevant pour condamner cet acte ignoble, celle de notre rédaction s’est fait entendre avec une force inébranlable. Nous avons été rejoints dans notre indignation par des activistes de renom, dont le sulfureux Bob Mengome, alias ‘Matricule 212’, qui, malgré ses désaccords politiques avec le président, a choisi de défendre l’honneur de la fonction présidentielle.
Cependant, ce qui a véritablement choqué l’opinion, c’est le silence assourdissant des soi-disant ‘activistes du palais’’. Ces individus, grassement payés et bénéficiant de privilèges somptueux, sont censés défendre et promouvoir l’image du président Oligui. Mais où étaient-ils lorsque leur leader était attaqué de manière si vile ? Leur indifférence est non seulement troublante, mais aussi révoltante.
Il est tout simplement inacceptable qu’un individu, quel que soit son statut, puisse salir impunément l’image d’un chef d’État au nom de la liberté d’expression, même si cela prétendument révélerait des vérités. Le silence complice des activistes du palais est une trahison envers ceux qui ont placé leur confiance en eux.
À quoi ont donc servi les millions et les voitures de luxe que ces individus ont reçus ? Au nom de quoi peuvent-ils se permettre une telle neutralité face à une telle trahison ? Les conséquences de ce choix lâche devront être assumées par le président Oligui et ses conseillers. Il est grand temps que ceux qui prétendent défendre la réputation d’un chef d’État agissent en conséquence, ou qu’ils fassent face aux conséquences de leur inaction