Ndong Sima, pilier de la réussite pour le CTRI : qui veut effacer ses exploits de la mémoire collective ?

Lors du colloque sur la fonction publique du 14 octobre 2024, Ndong Sima n’a pas mâché ses mots. En réponse aux critiques des fonctionnaires qui estiment que les efforts du gouvernement ne sont pas suffisants, il a rappelé avec insistance les succès de ses mandats passés, affirmant sans fausse modestie qu’il est le premier à avoir résolu le dossier des « rappels » entre 2002 et 2013. Un dossier qui stagnait depuis l’indépendance du pays, et que personne d’autre n’avait réussi à régler avant lui.

« C’est moi qui ai fait les rappels en 2002-2013. Beaucoup semblent l’avoir oublié », a-t-il déclaré, soulignant qu’à la fin de son mandat en 2013, plus de 90 % des fonctionnaires avaient été régularisés, administrativement et financièrement. Il a posé la question qui dérange : « Comment est-il possible que les mêmes problèmes soient réapparus entre 2014 et 2023, alors qu’ils avaient déjà été corrigés ? » Une critique acerbe adressée à ceux qui ont pris le relais après lui, et qui ont, selon lui, reproduit les mêmes erreurs administratives et financières.

Mais le Premier ministre ne s’est pas arrêté là. Il a également évoqué l’effort colossal consenti en 2023-2024 pour l’arrimage des pensions de retraite, avec un paiement historique de 28 milliards de francs CFA. Un accomplissement que certains préfèrent passer sous silence, mais qui prouve, une fois de plus, sa capacité à remettre en ordre les finances publiques.

Ndong Sima, connu pour son franc-parler, a également fustigé ceux qui critiquent sans reconnaître les avancées : « La poche de l’État est limitée. Sur un budget de 4 200 milliards de francs, près de 1 800 milliards sont déjà absorbés par le remboursement des dettes passées. Nous ne pouvons pas tout payer d’un coup, mais nous faisons des efforts considérables. » Il rappelle aussi qu’en 2013, lorsque les prix du pétrole étaient élevés, son gouvernement avait remboursé les dettes avec rapidité et rigueur. Les 28 milliards de francs payés cette année ne sont donc pas à négliger, mais bien à valoriser.

Ce franc-parler et cette capacité à redresser les finances ne plaisent pas à tout le monde. Certains, par jalousie ou crainte de son influence, cherchent à étouffer ses exploits. Ils ne supportent pas que Ndong Sima mette en lumière les failles de l’administration actuelle, ou qu’il rappelle les erreurs de gestion commises après son premier mandat.

Au-delà de ses succès dans la fonction publique, Ndong Sima est également un expert renommé en redressement d’entreprises. Ce sont grâce à ses compétences que des entreprises phares comme Hevegab et l’ancienne Setrag ont été sauvées. Son expertise en redressement économique dépasse largement les frontières gabonaises, étant reconnu à l’échelle internationale. Mais là encore, certains cherchent à éclipser cette réalité, tentant de gommer son rôle décisif dans la relance de ces entreprises.

La vérité est que Raymond Ndong Sima fait de l’ombre à ses détracteurs. Son efficacité dérange ceux qui ont échoué là où lui a réussi. Ses compétences et ses exploits sont tels qu’il devient difficile, même pour ses critiques, de les ignorer. Pourquoi cherche-t-on à étouffer ses succès ? La réponse est simple : Ndong Sima incarne l’excellence, et cela menace les ambitions de certains. Plutôt que de le reconnaître, ils préfèrent tenter de minimiser ses réussites, pour protéger leur propre position.

Malgré ces manœuvres, le président de la transition, Brice Clotaire Oligui Nguema, a toutes les raisons de se féliciter d’avoir un homme de la trempe de Ndong Sima à ses côtés. Ce dernier, loin de céder à la pression, continue de démontrer que son savoir-faire en matière de gestion publique et de redressement économique est une ressource inestimable pour le pays. Que ce soit dans le domaine des finances publiques ou dans celui des entreprises, Ndong Sima a prouvé qu’il est capable de faire la différence, et cela, personne ne pourra l’étouffer.

Même si certains essaient de camoufler ses réussites, Raymond Ndong Sima reste un acteur clé dans l’histoire politique et économique du Gabon. Ses exploits sont trop évidents pour être passés sous silence, et ses compétences trop précieuses pour être ignorées.

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