La provocation a ses limites, et Nazih vient de le découvrir à ses dépens. Ce Libanais, tristement célèbre pour ses attaques virulentes sur les réseaux sociaux gabonais, vient de passer sa première nuit en détention après avoir été placé en garde à vue à la Direction Générale des Recherches (DGR) le 29 novembre. Habitué des insultes et diffamations, il a longtemps pensé pouvoir défier les lois du pays qui l’accueille. Mais aujourd’hui, la justice gabonaise a tranché : l’impunité n’est plus une option.
Sur les réseaux, Nazih s’était bâti une notoriété malsaine, multipliant les attaques personnelles et les déclarations incendiaires. Ses publications toxiques, loin de servir une cause noble, menaçaient la paix publique et l’honneur national. Nombreux étaient les activistes gabonais à avoir alerté les autorités, appelant le général Brice Clotaire Oligui Nguema à mettre fin à ces dérapages inacceptables. Leur appel a été entendu.
Cette arrestation envoie un message fort : le Gabon ne tolérera plus les dérives verbales, surtout de la part d’étrangers qui se croient intouchables. En cette période de transition cruciale, les autorités gabonaises n’ont pas l’intention de laisser des comportements arrogants et insultants semer la discorde. La liberté d’expression est un droit, mais elle ne saurait être une arme pour insulter ou diffamer impunément.
Nazih devra désormais répondre de ses actes devant la justice gabonaise. Son cas servira d’exemple à ceux qui, étrangers ou non, pensent pouvoir défier les lois du pays. Le Gabon a parlé : les provocateurs seront neutralisés, l’ordre public préservé.
