Le cri d’alarme de Raymond Ndong Sima : une dette colossale menace l’équilibre financier

Il est essentiel que les dépenses liées à la dette soient considérées comme une responsabilité collective. Pour cela, il est impératif d’engager des discussions constructives avec différents acteurs économiques et, surtout, d’établir des accords solides avec les créanciers. Sans ces discussions, il est probable que les créanciers se retirent, aggravant ainsi notre situation économique a-t-il déclaré.

Le 1èr ministre a révélé que la dette intérieure est actuellement estimée à 3 000 milliards, ce qui représente un fardeau considérable pour l’économie. Trouver des solutions pour gérer cette dette est crucial, surtout pour éviter que les petits opérateurs économiques ne soient étouffés. Cependant, il a aussi souligné l’importance de respecter les règles des grandes institutions qui ont prêté de l’argent, afin de ne pas compliquer davantage notre situation.

Les 24 prochains mois s’annoncent particulièrement difficiles. Cette période nécessitera des efforts soutenus pour surmonter les défis économiques. Le nouveau gouvernement est en train de passer en revue les dossiers liés à la dette, avec l’objectif de trouver des solutions optimales. Le CTI a réactivé le groupe de travail sur la dette, et les résultats de leurs travaux sont attendus avec impatience.

Il est clair que la gestion de la dette, tant intérieure qu’extérieure, est une tâche complexe qui nécessite une approche équilibrée et réfléchie. En collaborant avec les créanciers et en mettant en place des mesures pour protéger les petits opérateurs économiques, nous pouvons espérer naviguer avec succès à travers ces temps difficiles. Les efforts de chaque acteur économique seront cruciaux pour assurer un avenir stable et prospère a terminé le premier ministre Raymond Ndong Sima .

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