Au Kenya, une affaire judiciaire pour le moins extraordinaire a récemment captivé l’attention de la nation.
Un homme, se proclamant être Jésus Christ, s’est retrouvé devant les tribunaux pour avoir prétendument semé la confusion parmi les fidèles et les autorités religieuses locales.
Cependant, ce qui a rendu cette affaire encore plus remarquable, c’est la manière dont elle s’est déroulée.
Lors du procès, l’accusé a affirmé qu’il était le véritable Jésus Christ et qu’il avait été envoyé par Dieu pour accomplir une mission divine.
Son avocat, un homme doté d’une ingéniosité sans pareille, a saisi l’opportunité de présenter une requête inattendue à la cour.
Il a demandé aux juges d’ordonner la comparution du vrai Jésus Christ afin de prouver l’authenticité de son client.
Le faux Jésus Christ Kenyan
Le tribunal, intrigué par cette demande sans précédent, a pris un temps considérable pour délibérer.
Après des délibérations animées, les juges ont finalement rendu leur décision, stupéfiant à la fois l’accusé et les observateurs présents dans la salle d’audience.
Ils ont accepté la requête de l’avocat et ont ordonné que le vrai Jésus Christ soit convoqué devant le tribunal pour témoigner dans cette affaire singulière.
La nouvelle de cette décision s’est rapidement répandue, suscitant l’excitation et l’étonnement dans tout le pays.
Les médias ont rapporté l’histoire avec fascination, et les spéculations ont afflué quant à la manière dont le tribunal allait exécuter sa demande.
Des semaines ont passé depuis l’annonce de la décision, mais aucun signe du vrai Jésus Christ n’a été observé.
Certains ont suggéré que les autorités religieuses auraient dissuadé son apparition, craignant les conséquences de cette mise en scène inhabituelle.
D’autres ont spéculé que la requête de l’avocat n’était qu’une stratégie audacieuse pour obtenir la relaxe de son client.
Finalement, le jour de l’audience tant attendue est arrivé. La salle d’audience était bondée, avec des journalistes, des curieux et des fidèles impatients de voir ce qui allait se passer.
Cependant, à la grande déception de tous, le vrai Jésus Christ n’était toujours pas présent.
Face à cette absence, l’avocat de l’accusé a plaidé avec véhémence que l’impossibilité de faire venir le vrai Jésus Christ était une preuve supplémentaire de l’authenticité de son client.
Il a soutenu que si son client était réellement un imposteur, le véritable Jésus Christ serait certainement apparu pour le démasquer.
Après avoir écouté les arguments de l’avocat de la défense, la cour s’est prononcée surprenamment en faveur de l’accusé.
Les juges ont conclu qu’en l’absence du vrai Jésus Christ, il n’y avait pas suffisamment de preuves pour condamner l’accusé comme un imposteur. Par conséquent, l’homme fut libéré.