Libreville, quartier Sotega. C’est ici qu’Iris Mihindou, mieux connue sous le pseudonyme de « La Blanche de Moabi, » a tragiquement perdu la vie dans des circonstances qui laissent un goût amer d’injustice et de mystère. Selon la version actuelle des faits, Iris aurait succombé à une asphyxie lors d’un incendie sur son lieu de travail. Un incendie où, miraculeusement, tout le reste du personnel est sorti indemne. Une coïncidence troublante qui soulève des questions brûlantes.
Le flou autour de cet incident ne s’arrête pas là. Transportée à la clinique SOS Médecin, c’est cet établissement qui a lancé un appel désespéré pour retrouver la famille d’Iris. Comment est-il possible que les collègues et les supérieurs présents ce jour-là aient « perdu la mémoire » et n’aient pas informé la famille de la jeune femme? Une amnésie collective aussi soudaine qu’invraisemblable, qui sent la dissimulation à plein nez.
Iris Mihindou de son vivant
Iris Mihindou, une étoile montante des réseaux sociaux, était connue pour sa gentillesse, son sourire éclatant et sa joie de vivre. Son décès a plongé ses milliers d’amis virtuels dans la consternation. Comment une personne aussi innocente et sans histoires a-t-elle pu périr de manière aussi suspecte et tragique? Les réseaux sociaux s’enflamment : qui a tué « La Blanche de Moabi » et pourquoi?
Des milliers de personnes demandent justice pour Iris. Son décès est entouré de zones d’ombre, de non-dits et de questions sans réponses. Comment une vie si précieuse a-t-elle pu être arrachée dans des circonstances aussi douteuses? Les autorités judiciaires et les forces de lutte contre la criminalité doivent impérativement faire toute la lumière sur cette affaire.
Nous exigeons des réponses. Nous exigeons la vérité. Iris Mihindou mérite que justice soit faite. Son décès ne doit pas rester un mystère étouffé par des mensonges et des oublis opportunistes. C’est une question de justice, d’humanité et de respect pour la mémoire d’une femme extraordinaire qui a été arrachée à la vie de manière scandaleuse. Que ceux qui savent parlent. Que la vérité éclate au grand jour. Iris Mihindou, « La Blanche de Moabi, » ne sera pas oubliée.