Dans une révélation fracassante, un citoyen libre dénonce les pratiques scandaleuses du Parti Démocratique Gabonais (PDG), le qualifiant de fossoyeur de la démocratie et de complice dans le pillage des deniers publics. Au cœur de cette affaire, des députés du PDG accusés d’avoir trahi leur patrie en soutenant la loi sur la dépénalisation, ouvrant ainsi la voie à une vague de corruption sans précédent.
Le citoyen anonyme, porte-parole de la conscience nationale, tire la sonnette d’alarme : la suspension immédiate des activités politiques du PDG est désormais incontournable. Cette suspension est perçue comme le premier pas vers la purification d’une classe politique corrompue jusqu’à la moelle.
Mais ce n’est pas tout. Le PDG doit répondre de ses actes devant la justice. L’appel est clair : le parti doit être mis en quarantaine pour cinquante ans, une peine à la mesure de ses crimes économiques, politiques et socioculturels. Les anciens cadres du PDG, complices de ces méfaits, doivent également être frappés d’une peine d’inéligibilité pouvant aller jusqu’à trente ans.
Dans cette atmosphère de scandale et de trahison, une figure politique demeure au centre des regards : Ali Bongo Ondimba. Si par “pure humanité” il échappe à un jugement implacable, le PDG lui-même ne saurait échapper à la justice.
Ce cri de révolte est un appel à l’éveil des consciences, un appel à la rupture avec un système corrompu qui gangrène la société gabonaise. Il est temps de mettre fin à l’impunité et de restaurer la confiance du peuple en ses dirigeants.
Le Gabon retient son souffle, attendant avec impatience le dénouement de ce scandale qui pourrait changer à jamais le cours de son histoire politique.
Source anonyme.









