Gabon/ Élections locales : confection des listes électorales à Ntoum, le PDG joue au jeu  » Qui boude bouge « 

Oh là là, ça chauffe au sein du Parti Démocratique Gabonais (PDG) à Ntoum ! Les investitures pour les élections locales ont déclenché une véritable tempête de mécontentement. C’est comme si le PDG avait organisé une loterie, mais au lieu de gagner le gros lot, les participants se sont retrouvés avec des tickets de perdants.

Innocent Ondo Ovono et Sylvie Andeme, deux candidats pas très ravis de se retrouver sur une liste où ils ne se reconnaissent pas, ont dit « Non merci ! » et ont décidé de prendre la sortie de secours. On peut les comprendre, personne n’aime se sentir relégué au fin fond de la liste, comme un vieux livre poussiéreux dans la bibliothèque.

Et ce n’est pas tout ! Quatre maires encore en fonction ont failli s’étouffer avec leur café en voyant que les noms du maire du 2e arrondissement et du 3e arrondissement étaient aux abonnés absents. On dirait bien que quelqu’un a décidé de jouer à cache-cache avec les candidats.

Les autres élus, comme Sylvie Andeme, Ernest Ndong Ekouaghe, Mougoula Marianne et Innocent Ondo Ovono, se sont retrouvés à des postes peu reluisants sur ces fameuses listes. Autant dire qu’ils ont rapidement compris qu’ils avaient autant de chances de gagner ces élections que de décrocher un rendez-vous avec la lune.

Franchement, on ne peut pas leur en vouloir d’avoir pris la mouche. Se sentir exclu de la liste des acteurs principaux, c’est comme être invité à une fête d’anniversaire et se retrouver coincé à la table des enfants en train de manger du gâteau à la carotte. C’est un coup dur pour leur ego politique.

Tout ça pour dire que le PDG à Ntoum risque de prendre un coup dans l’aile lors de ces élections. Les défections d’Innocent Ondo Ovono et de Sylvie Andeme sont comme des fissures dans un mur déjà fragile. On dirait bien que l’unité et la cohésion des membres du parti ressemblent à un château de cartes sur le point de s’effondrer.

Il est grand temps que le PDG prenne ces dissensions au sérieux et arrête de jouer au mikado avec ses candidats. Il faudrait peut-être organiser un atelier de communication interne intitulé « Comment éviter de froisser nos membres et de les faire fuir en courant ? ». Ou bien offrir des cours de yoga pour apprendre à garder son calme en période électorale, qui sait ?

En tout cas, le PDG doit se ressaisir et trouver des solutions rapidement. Sinon, ils risquent de voir leur avenir politique ressembler à une mauvaise blague, et personne n’a envie de finir en punchline dans l’histoire politique locale.

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