Et Max Anicet Koumba fut créé pour embrouiller les gabonais sur ce qui les attend en décembre!

La plainte de Jonathan NDOUTOUME NGOM et la poignée de cadres fangs qui l’accompagnent, engagée contre Max Anicet Koumba, le Président du Rassemblement des Gaulois, est une plaisanterie, une diversion créée au tour de Max Anicet Koumba, le Président du Rassemblement des Gaulois pour faire oublier aux gabonais, l’obligation vaccinale.

S’il faut s’indigner des propos tenus par Max Anicet Koumba, le Président du Rassemblement des Gaulois, un petit parti ‘’pigeon’’ blotti dans la majorité présidentielle, il reste néanmoins à souligner que, le contexte politique et social actuel doit obliger le peuple gabonais à la retenue, à la responsabilité et surtout à la vigilance.

Pourquoi autant de boucan sur des propos tribalistes de Max Anicet Koumba lorsqu’il s’agit d’un fait social observable depuis longtemps au Gabon ?

Loin d’être un sentiment personnel, la déclaration  de Max Anicet Koumba et l’acharnement engagé contre ce dernier par un groupe d’intellectuels gabonais sonnent comme une mise en scène, une sorte de diversion faite sur un sujet préoccupant : l’obligation vaccinale.

En effet, cette mesure à peine rendue publique par le gouvernement, que naquit la polémique autour des propos du leader des gaulois gabonais.

L’obligation vaccinale telle que mise en œuvre par les plus hautes autorités de la République, pour satisfaire on ne sait quel agenda occulte, devrait indigner la société civile, de même que l’ensemble des acteurs politiques épris de paix et de justice.

Devant leurs yeux ouverts, le gouvernement est dans la perspective d’imposer, de bafouer le droit de réserve de ceux qui ont choisi la prudence sur un sujet encore loin de faire l’unanimité dans les plus prestigieux laboratoires internationaux, de même que dans les gouvernements les plus démocratiques.

Jamais les droits les plus fondamentaux des populations n’ont été autant bradés au Gabon.

Voici ce qui devrait préoccupe les gabonais, et non les égarements d’un Max Anicet Koumba.

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