Il est regrettable de constater qu’un vent de médisance et de menace de grève souffle dans certaines administrations depuis un certain temps. C’est le cas du Centre de Traitement Ambulatoire de Nkembo, où certains meneurs souhaiteraient continuer à semer le trouble. Cependant, la Direction de cet établissement reste ferme : Nous ne ménagerons aucun effort pour maintenir la sérénité et la paix au Centre de Traitement Ambulatoire de Nkembo, malgré les propos diffamatoires, humiliants et mensongers, mais surtout SANS IMPUNITÉ de certains meneurs.
Voici la preuve que ces agents portent de fausses accusations sur leur hiérarchie. Des agents affirment ne pas avoir touché leur quote-part en 5 ans, alors qu’ils ont toujours touché leur quote-part, comme en témoigne le document.
Des agents qui ont sali, avec l’aide de la presse, la réputation de leur hiérarchie mérite qu’on cherche la véritable cause de leur animosité.
La Direction de cette structure précise bien qu’elle ne soit pas attachée à un poste et exhorte ceux qui convoitent les postes à faire preuve de patience, au lieu de chercher à nuire à ceux qui ont opté pour travailler à l’amélioration de la santé de la population.
N’oublions pas que l’annonce du VIH détruit les relations avec la famille, le travail, les voisins et avec soi-même. Le patient vit une angoisse, et nous, agents de la santé, sommes là pour accompagner nos patients dans toutes les étapes d’acceptation et d’adaptation. C’est pourquoi la prise en charge du VIH est globale : psychologique, professionnelle, environnementale, sociale, et surtout médicale.
La Direction du CTA de Nkembo a toujours organisé :
- Des visites à domicile.
- Des visites à l’hôpital.
- Des causeries et des débats.
- Des repas communautaires et des dépistages avec les personnes souffrant de surdité.
- Et avec des personnes malvoyantes.
- Des visites en milieu carcéral pour briser le tabou sur le VIH, et jusqu’à ce que la hiérarchie décide, nous continuerons dans cet élan avec l’aide de DIEU. »