Chanteuses gabonaises et bordellerie en Guinée Équatoriale : il faut que ça cesse !

La Guinée Equatoriale depuis son boom pétrolier serait-elle devenue l’eldorado d’une grande partie des chanteuses gabonaises originaires de la province du Woleu-Ntem qui y vont parait-il, pour se prostituer ?

Cachées derrière l’étoffe d’artistes à la recherche de promoteurs, beaucoup de chanteuses gabonaises originaires de la province du Woleu-Ntem font des voyages étonnants, parfois en jet privé pour aller satisfaire l’appétit sexuel des petits millionnaires Equatos Guinéens .

C’est un fait qui ne souffre plus d’aucun doute au sein de la communauté artistique de la province du Grand Nord.

Assoiffées d’argent et de prestige, il y en a même qui se sont essayées en mariage là-bas mais ont très vite fait de fuir leurs tortionnaires de maris qui en les bastonnant ne cessaient de leur rappeler les souffrances et autres humiliations que les gabonais faisaient subir à leurs parents bien avant que leur pays ne devienne prospère.

MACHO BIS, un proxénète malade et dangereux qui aurait contaminé sa maladie à beaucoup de chanteuses gabonaises.

Très populaire dans les milieux huppés de la Guinée Équatoriale,  MACHO BIS serait un proxénète aguerri qui capture ses « proies » dans l’entourage artiste gabonais et camerounais.

Son vis serait de « gouter » au préalable à sa « marchandise » avant de là livrer.

Recherché activement par un grand notable gabonais à qui il aurait détourné une femme, l’homme écumerait désormais les milieux scolaires des villes frontalières Gabonaises avec la Guinée Equatoriale afin de dénicher de la « chair fraiche » à livrer à ses clients.

Le Gabon étant désormais lancé à la chasse contre les placeurs de jeunes filles, il y a urgence pour les autorités de se pencher sur cette forme de trafique honteux qui n’honore pas le pays depuis un moment.

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