Et voilà, 2023 se termine en beauté avec un dernier conseil des ministres qui a secoué la CNAMGS comme une partie de chaises musicales déjantée au Palais du bord de mer. Certains directeurs et cadres ont été pris dans un makossa endiablé, et Séverin Anguilé, ex-Directeur général de la CNAMGS, a été éjecté de son siège avec une élégance digne d’un tour de magie.
La CNAMGS, cette institution censée gérer l’assurance maladie, ressemblait plus à un cirque qu’à un service sérieux. On aurait dit que les coulisses étaient devenues le théâtre d’un numéro de clown, et le renvoi d’Anguilé en était la preuve éclatante.
Mais pas de panique ! Un vent de fraîcheur souffle sur la CNAMGS avec l’arrivée d’Audrey Chambrier, l’adjointe intrépide. Elle a été catapultée au sommet, prête à redresser cette institution comme si elle avait des superpouvoirs administratifs. On compte sur elle pour ramener l’ordre dans ce qui ressemblait à un immense bazar bureaucratique.
La Grande Révolution ne s’est pas arrêtée à la CNAMGS, oh non ! D’autres directeurs et cadres ont également été remerciés, marquant la fin d’une époque liée au régime déchu. C’est comme si le grand ménage avait enfin commencé, faisant place à de nouvelles têtes, de nouvelles idées, et, espérons-le, un regain de productivité.
Alors, retenons ceci : le ménage continue, les révocations deviennent des nominations, et on assiste à une vraie révolution administrative. Pour le moment, Audrey Chambrier est notre héroïne incontestée, prête à brandir sa plume administrative comme une épée pour éradiquer les erreurs avec la précision d’un chirurgien.









