AFFAIRE KEVAZINGO : QUAND MAGANGA MOUSSAVOU ENTREPREND DE MANIPULER L’OPINION

Peu après le verdict du procès qui l’opposait au journaliste d’investigation, Pierre Claver Maganga Moussavou s’est assigné une nouvelle mission: convaincre l’opinion d’avoir été blanchi de toute implication relative à l’affaire Kévazingo. S’il l’avait fait dans la franchise, la perspective aurait été sans reproches. Sauf qu’en l’espèce, l’ancien vice-président de la République use de propos mensongers et manipulateurs. C’est tout à son déshonneur.

Le 3 février dernier, le journaliste Stive Roméo Makanga a été jugé coupable d’outrage par voie de presse devant le tribunal correctionnel de Libreville.

Le patron de Kongossanews a depuis fait appel de cette décision, le 4 janvier, précisément.

Un rebondissement, qui vient une nouvelle fois remettre l’affaire dans les débats, du reste loin d’être épuisée.

De l’autre côté, Pierre Claver Maganga Moussavou, sans doute désireux de s’attaquer à de nouvelles cibles, selon lui, responsables de son éviction de la vice-présidence de la République, livre à l’opinion un discours loin de corroborer la réalité, et encore moins la vérité des faits.

D’abord, Pierre Claver Maganga Moussavou, en homme d’État qui se respecte, devrait expliquer à l’opinion nationale et internationale, qu’il prend d’ailleurs à témoin, que le procès qui l’oppose au journaliste ne concerne nullement l’ *affaire kévazingo* , mais plutôt l’ *outrage par voie de presse* , commis alors qu’il tenait encore son poste au Palais du bord de mer.

Ensuite, Pierre Claver Maganga Moussavou devrait expliquer aux gabonais que si jamais l’affaire kévazingo devait s’ouvrir, elle le serait devant la Cour criminelle spéciale, seule instance habileté à engager des poursuites contre des criminels financiers.

Or, dans son discours, l’ancien vice-président entretien toute la confusion sur ces affaires, qui sont pourtant loin d’être liées.

Une entreprise qui plombe toute la sincérité que devrait pourtant mettre au premier plan, le président du Parti Social Démocrate (PSD). Affaire Kévazingo : Quand Maganga Moussavou entreprend de manipuler l’Opinion

Peu après le verdict du procès qui l’opposait au journaliste d’investigation, Pierre Claver Maganga Moussavou s’est assigné une nouvelle mission: convaincre l’opinion d’avoir été blanchi de toute implication relative à l’affaire Kévazingo. S’il l’avait fait dans la franchise, la perspective aurait été sans reproches. Sauf qu’en l’espèce, l’ancien vice-président de la République use de propos mensongers et manipulateurs. C’est tout à son déshonneur.

Le 3 février dernier, le journaliste Stive Roméo Makanga a été jugé coupable d’outrage par voie de presse devant le tribunal correctionnel de Libreville.

Le patron de Kongossanews a depuis fait appel de cette décision, le 4 janvier, précisément.

Un rebondissement, qui vient une nouvelle fois remettre l’affaire dans les débats, du reste loin d’être épuisée.

De l’autre côté, Pierre Claver Maganga Moussavou, sans doute désireux de s’attaquer à de nouvelles cibles, selon lui, responsables de son éviction de la vice-présidence de la République, livre à l’opinion un discours loin de corroborer la réalité, et encore moins la vérité des faits.

D’abord, Pierre Claver Maganga Moussavou, en homme d’État qui se respecte, devrait expliquer à l’opinion nationale et internationale, qu’il prend d’ailleurs à témoin, que le procès qui l’oppose au journaliste ne concerne nullement l’ *affaire kévazingo* , mais plutôt l’ *outrage par voie de presse* , commis alors qu’il tenait encore son poste au Palais du bord de mer.

Ensuite, Pierre Claver Maganga Moussavou devrait expliquer aux gabonais que si jamais l’affaire kévazingo devait s’ouvrir, elle le serait devant la Cour criminelle spéciale, seule instance habileté à engager des poursuites contre des criminels financiers.

Or, dans son discours, l’ancien vice-président entretien toute la confusion sur ces affaires, qui sont pourtant loin d’être liées.

Une entreprise qui plombe toute la sincérité que devrait pourtant mettre au premier plan, le président du Parti Social Démocrate (PSD).

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