Rendu public il y a maintenant un peu plus d’un mois, le remède de Madagascar continue d’inonder le marché africain, notamment dans les États qui veulent bien l’accueillir. Les autorités malgaches qui en ont venté l’efficacité ont dû faire face à une réaction vivement décourageante de la part de l’OMS et des États occidentaux. En cause, la toxicité du principal composant, l’Artemisia.
Malgré ce qui a semblé être une mascarade montée de toute pièce pour empêcher un pays africain d’avoir le monopole sur le marché semble-t-il lucratif de l’industrie pharmaceutique, le CVO Organics a été bien accueilli sur le continent. Plusieurs pays en ont fait la commande, parmi lesquels le Tchad, qui après avoir constaté des résultats positifs vient d’en refaire la demande. En effet, le pays a chargé une délégation de se rendre à Madagascar pour veiller à l’acheminement de près de 20.000 doses supplémentaires. Selon le conseiller Tchadien à la santé, Abdoulaye Adam, le pays comptabilise presque 0 cas.
Un acte bien accueilli par les observateurs africains à l’heure où partout sur le continent le besoin de valorisation devient de plus en plus manifeste. Il faut reconnaitre que le pays a déjà enregistré de nombreuses guérisons grâce à un protocole impliquant le « Covid Organics ». Hier encore le pays enregistrait 0 cas de contamination, ni aucun décès. Le dernier bilan annonce 3 cas de contaminations et un décès. Le pays a déjà enregistré plus de 800 cas dont plus de 700 ont été déclarés guéris. Faut-il croire qu’une conspiration se cache derrière les allégations de l’OMS ? Il est certainement temps que les États africains travaillent de concert et se soutiennent mutuellement, à l’exemple de Madagascar et le Tchad qui ont d’ailleurs décidé de s’associer en vue de lancer la troisième phase Du protocole de traitement contre le Sar-Cov 2 grâce à des solutions injectables. Un travail qui devrait se faire avec l’aide des autres États si ces derniers acceptent d’y participer.