14 ans d’abandon : Oligui découvre les ruines de la résidence gabonaise à Bruxelles, héritage de l’ère Bongo

Pendant 14 longues années, la résidence du Gabon à Bruxelles a été laissée à l’abandon, victime de l’incompétence et de l’irresponsabilité du régime d’Ali Bongo Ondimba. Cette infrastructure diplomatique, jadis un symbole du prestige gabonais, est aujourd’hui le reflet honteux de l’indignité d’un pouvoir plus préoccupé par l’enrichissement personnel que par l’honneur de la nation. Un scandale que le président de la transition, Brice Clotaire Oligui Nguema, entend enfin corriger.

Abandonnée depuis 14 ans, la résidence diplomatique est devenue un gouffre financier pour le Gabon. Les taxes foncières de non-occupation, exorbitantes, pèsent lourdement sur les contribuables gabonais. Pendant ce temps, sous le régime Bongo, les responsables détournaient allègrement les fonds publics, ignorant avec mépris les obligations internationales du Gabon. Cette négligence n’est pas qu’économique, elle est aussi morale : elle trahit l’absence totale de dignité, d’honneur et de patriotisme des dirigeants d’hier.

Sans commentaire : les images honteuses de l’ancienne résidence de l’ambassadeur du Gabon en Belgique.

Ali Bongo et son clan n’avaient qu’une seule ambition : s’enrichir sur le dos du peuple. Leur gestion catastrophique a non seulement dilapidé les ressources du pays, mais a aussi terni l’image du Gabon à l’étranger. En laissant cette résidence diplomatique à l’abandon, ils ont humilié la nation, prouvant encore une fois leur mépris pour les symboles de souveraineté. Leur patriotisme ? Inexistant. Leur responsabilité ? Fuyante. Leur seule priorité était de remplir leurs poches.

Heureusement, une ère nouvelle se dessine. Le président de la transition, Brice Clotaire Oligui Nguema, a pris la mesure de ce scandale. En visitant personnellement les lieux, il a témoigné d’une volonté ferme de restaurer l’honneur perdu. La décision d’apurer les dettes accumulées et d’engager rapidement les travaux de réhabilitation montre une ambition claire : redorer l’image du Gabon à l’international et rompre définitivement avec l’héritage honteux de la famille Bongo.

L’abandon de la résidence de Bruxelles est plus qu’une simple négligence : c’est une trahison nationale orchestrée par un régime corrompu et sans honneur. Mais la page est en train de se tourner. La réhabilitation de cette infrastructure n’est pas seulement une question de prestige : elle est un acte de justice, une revanche contre les années de mépris et de spoliation. Le Gabon mérite mieux. Le temps de la dignité retrouvée est venu.

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