Dans un contexte où les réseaux sociaux deviennent des foyers de haine, des activistes comme Wilfried Okoumba en France, ainsi que d’autres, visibles ou opérant dans l’ombre, suscitent l’indignation par leurs appels à la violence et à la division. Face à cette menace, le Président de la Transition, Brice-Clotaire Oligui Nguema, a réagi fermement en condamnant ces discours incendiaires. Cependant, une question demeure : les activistes à l’étranger, tels qu’Okoumba et les autres, resteront-ils impunis ? Cette inaction contraste avec la répression rapide des activistes au Gabon, comme Stempy Love Obame et Bob Mengome, qui ont subi les rigueurs de la justice pour des propos moins graves.
Le silence pesait déjà trop lourdement. Mais le Président de la Transition, Brice-Clotaire Oligui Nguema, a enfin brisé cette inaction inquiétante. Hier, par le biais du communiqué numéro 062, il a condamné fermement ces dérives insidieuses.
Le chef de l’État, fervent défenseur de l’unité nationale, a parcouru les provinces du Gabon, témoignant d’une ferveur patriotique exemplaire. Il a dénoncé les esprits séditieux et les groupuscules qui sèment le venin mortel du régionalisme et de l’ethnocentrisme. Ces appels à la haine, proliférant sur les réseaux sociaux et certains organes de presse, menacent la paix et l’unité de la nation.
Avec une détermination sans faille, le Président a ordonné aux services de police judiciaire d’intensifier la surveillance et de traduire les responsables devant la justice. La rigueur de la loi s’abattra sur ces semeurs de discorde.
En ordonnant à la police judiciaire de renforcer la surveillance et de traduire en justice les semeurs de discorde. Un doute persiste : les activistes résidant à l’étranger, comme Wilfried Okoumba, resteront-ils impunis ? Cette inaction contraste avec la répression rapide des activistes sur le sol gabonais, tels que Stempy Love Obame et Bob Mengome, incarcérés pour des propos moins graves et dangereux.
Une confrontation entre Oligui Nguema et Okoumba semble inévitable. Malgré le pardon que le chef de l’Etat avait accordé à Okoumba lors de son voyage d’Etat en France Wilfried Okoumba continue de semer la division. Le défi pour le Président sera de prouver que la lutte contre la haine ne connaît ni frontières ni exceptions.
Le Gabon se trouve à un carrefour critique. La nation doit se lever contre ceux qui menacent son unité. Les mots sont des armes, et l’indulgence envers les semeurs de haine pourrait être la fissure par laquelle l’édifice social s’effondre. L’heure est à la vigilance, car la haine, une fois libérée, ne connaît pas de répit.