Pour la Défense de la Vérité et de la Stabilité : Oligui doit Engager des Poursuites contre Jeune Afrique.

Le récent revirement du journal, suite à la perte de son client privilégié, la présidence gabonaise d’Ali Bongo, n’a pas échappé à l’attention. Le journal s’est lancé dans une campagne d’articles à charge contre le CTRI (Conseil de Transition pour la Restauration de l’Intégrité) et son leader, Brice Clotaire Oligui, qui a courageusement rompu avec les relations douteuses entretenues par l’ancien régime avec ce média mercenaire de la plume.

Selon plusieurs médias locaux, dont Digital News, les attaques de Jeune Afrique contre le CTRI seraient motivées par le refus du président de la Transition gabonaise de renouveler un contrat exorbitant d’1 milliard de Fcfa, liant le régime d’Ali Bongo au média. Les soupçons d’une main noire du clan Bongo planent sur les manigances de Jeune Afrique, mettant en lumière les dessous peu scrupuleux de la relation entre le magazine et le régime déchu.

La question qui se pose maintenant est de savoir pourquoi les nouvelles autorités gabonaises ne poursuivent pas en justice ce média international pour la publication de propos mensongers à l’encontre des autorités gabonaises, incitant à l’excitation aux troubles. Les multiples articles à charge semblent viser à discréditer le pouvoir en place, allant jusqu’à prétendre des révélations sensationnelles sur l’exfiltration de l’ex-première dame et de son fils de la prison centrale de Libreville, ainsi que des troubles supposés entre le Premier Ministre, Raymond Ndong Sima, et les militaires au pouvoir.

Il est grand temps que le président de la transition prenne des mesures contre Jeune Afrique pour ces tentatives manifestes de déstabilisation. Les autorités gabonaises doivent montrer au propriétaire de ce média que le Gabon ne tolérera jamais quiconque cherchant à perturber le processus de sa transition. Il est crucial de protéger la stabilité politique et la vérité dans un contexte où la désinformation peut avoir des conséquences graves pour la nation gabonaise.

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