Depuis l’arrivée au pouvoir de la junte militaire dirigée par le général Brice Clotaire Oligui Nguema, le paysage politique et social du Gabon est en ébullition. Parmi les figures les plus controversées de cette période, Wilfried Okoumba se distingue tristement. Ce soi-disant activiste, qui s’est réfugié en France pour échapper à la justice gabonaise après l’assassinat présumé du gardien de son père, est devenu le chantre de la haine et de la division.
Les propos incendiaires d’Okoumba, particulièrement contre l’ethnie Fang, sont non seulement répréhensibles mais également d’une gravité extrême. Il n’hésite pas à appeler à l’extermination de tout un peuple, un comportement digne des pires criminels de guerre. Ses discours enflamment les passions et attisent les haines ethniques, créant un climat de terreur et d’instabilité au sein de la société gabonaise.
Okoumba a également montré un mépris total pour l’autorité en place en appelant ouvertement à la subversion et en incitant les militaires à renverser le régime actuel. Ses appels à un coup d’État et à la violence ethnique démontrent clairement son agenda destructeur. Il ne se contente pas de critiquer, il milite activement pour le chaos et la désunion nationale.
Ce qui est choquant, c’est que malgré ses appels à la haine et à la violence, Okoumba a été reçu avec bienveillance par le président de transition, Brice Clotaire Oligui Nguema. Lors de la récente rencontre avec la diaspora, il a reçu une chaleureuse accolade et des propos rassurants du président. Une telle clémence face à un individu aussi dangereux est incompréhensible.
Depuis cette rencontre, Okoumba n’a fait que redoubler d’efforts pour semer la zizanie. Il accuse maintenant les cadres Fang de comploter contre le président et cherche à provoquer une guerre fratricide entre eux. Ses dernières attaques visent Aurelien Mintsa, le Directeur Général du Budget, et Charles Mba, le ministre des Comptes Publics, dans le but de les monter l’un contre l’autre. Une stratégie claire pour affaiblir l’unité des cadres Fang et isoler le président Oligui de ses proches collaborateurs ethniques.
Les agissements de Wilfried Okoumba sont intolérables et doivent être stoppés immédiatement. Cet individu, qui a trahi la confiance de ceux qui ont cru en sa possible rédemption, doit être traduit en justice pour répondre de ses actes. Ses manigances et ses appels à la violence mettent en péril la cohésion sociale et la stabilité du Gabon.
Il est temps que les autorités gabonaises agissent avec fermeté. Wilfried Okoumba doit être arrêté et jugé pour ses crimes contre la paix et la sécurité nationale. Ses discours de haine et ses appels à la subversion ne doivent plus rester impunis. Le peuple gabonais mérite mieux que de voir son unité mise à mal par un individu dont le seul objectif est de semer la discorde et la destruction.
Il en va de l’avenir du Gabon de se débarrasser de ce fléau. Le silence et l’inaction face à de telles provocations ne sont plus une option. La justice doit prévaloir pour que la paix et l’harmonie puissent régner à nouveau dans notre chère nation.