Le Gabon est sous le choc après la révélation d’un acte abominable commis par Jean-Claude Ronary, 61 ans, chef de regroupement du village d’Idjembo. Cet homme, supposé être un protecteur et un modèle, est accusé du viol incestueux de sa propre petite-fille, une adolescente de 15 ans. Les faits sont accablants, et la justice ne doit en aucun cas fléchir face à une telle barbarie.
Selon des informations rapportées par L’Union, HD, 15 ans, était en vacances chez ses grands-parents lorsque son grand-père a profité de son autorité pour abuser d’elle. L’horreur ne s’arrête pas là : après l’avoir brutalisée, il l’a menacée de représailles pour la réduire au silence. Ce crime ignoble, confirmé par un examen médical, laisse la victime et sa famille dans un état de souffrance incommensurable.
Les abus sexuels sur mineurs, et plus encore lorsqu’ils surviennent au sein même de la famille, constituent l’une des pires trahisons. Ces actes bafouent non seulement la dignité des victimes, mais ils ébranlent aussi les fondements de nos valeurs sociales et familiales. Jean-Claude Ronary, aujourd’hui incarcéré à la prison du Château à Port-Gentil, doit être jugé avec la plus grande sévérité. Le Code pénal gabonais, prévoit des peines lourdes pour les viols sur mineurs, et cette affaire doit être un exemple de tolérance zéro face à de tels crimes.