Dans une opération audacieuse et sans merci, la Police Judiciaire d’Oyem a finalement capturé le cauchemar incarné : Welbeck, le maître des ténèbres de la province du Woleu-Ntem. Pendant trop longtemps, ce criminel impitoyable a semé la terreur, pillant impunément maisons et commerces à Oyem, de jour comme de nuit. Son modus operandi était brutal : armé jusqu’aux dents, lui et sa bande pillaient sans vergogne, laissant derrière eux un sillage de destruction et de misère.
Malgré les efforts désespérés des autorités pour le neutraliser, Welbeck continuait de défier la justice, échappant à chaque fois à ses poursuivants tel un fantôme. Mais aujourd’hui, la lumière de la justice a finalement percé les ténèbres de son règne de terreur. Dans une traque haletante, les forces de l’ordre ont enfin réussi à le mettre dos au mur.
Pourtant, la capture de Welbeck n’a pas été sans mystère ni défis. Les agents de la PJ, pourtant aguerris, étaient stupéfaits devant les capacités surhumaines de ce criminel. Comment pouvait-il courir sur des kilomètres sans montrer aucun signe de fatigue ? Et lorsque les armes étaient pointées vers lui, un étrange phénomène semblait les rendre inopérantes, comme si une force occulte protégeait ce maître du crime.
C’est dans une nuit glaciale, après des mois de traque acharnée, que la PJ a finalement encerclé sa proie. Aidés par un informateur anonyme, ils ont orchestré un piège tendu avec précision. Welbeck, pensant échapper une fois de plus à la justice, s’est retrouvé piégé dans un bar sombre de la ville. C’est là, dans l’ombre, qu’il a été confronté à la force implacable de la loi.
Après des heures d’attente tendues, l’agent infiltré a finalement réussi à l’attirer dans un piège soigneusement préparé. Et lorsque Welbeck, aveuglé par l’alcool et la confiance, s’est laissé emporter par ses vices, c’est là que la justice a frappé. Pris au piège, les menottes aux poignets, le roi déchu a finalement été vaincu.
Welbeck et sa bande de voyous languissent désormais dans les geôles de la ville, attendant leur jugement. Mais cette capture n’est pas seulement la fin d’un règne de terreur, c’est aussi un rappel brutal : la loi ne connaît ni pitié ni compromis. La PJ d’Oyem a prouvé, une fois de plus, que la force de la loi prévaudra toujours, que ce soit avec ou sans superstitions obscures. La lumière de la justice brillera toujours, même dans les ténèbres les plus profondes. »