Le FC Canon 105 vient de connaître un séisme sans précédent, marqué par une gestion chaotique et des abus de pouvoir scandaleux. En l’absence du Président Fondateur, Idriss Ngari, pour raisons de santé, le club a été plongé dans une anarchie totale sous la direction de Davy Yakoma et son comité exécutif.
Dépourvus de toute vision et compétence en matière de gestion footballistique, Yakoma et son entourage ont imposé une gouvernance à la limite du brigandage. L’argent alloué au club, soit 74 millions de FCFA, a été détourné sans scrupules, pendant que les joueurs, eux, faisaient face à des salaires impayés depuis cinq mois. Pire encore, ces pseudo-dirigeants ont préféré multiplier les voyages somptuaires, gaspillant des centaines de millions en déplacements inutiles.
Dans cette atmosphère de gabegie, une décision scandaleuse a été prise : le limogeage arbitraire de Nicaise Ondeno, un entraîneur reconnu pour ses compétences et son dévouement. Cette éviction a suscité une vague d’indignation parmi les joueurs et les supporters du club, qui ont assisté impuissants à la descente aux enfers de leur équipe.
Revenu du Maroc, encore convalescent, le Président Fondateur Idriss Ngari a rapidement pris la mesure de la situation. Homme de justice et d’ordre, il a immédiatement annulé la décision inique prise par le comité directeur et a réhabilité Nicaise Ondeno dans ses fonctions. Par la même occasion, il a limogé sans détour Davy Yakoma, estimant que ce dernier avait démontré une incompétence manifeste et un irrespect flagrant des règles en vigueur.
Ci-dessous , de gauche à droite , Idris Ngari , Nicaise Ondeno et Davy Yakoma
Idriss Ngari a une fois de plus prouvé qu’il était un leader déterminé à restaurer la dignité et l’éthique au sein du sport gabonais. Son intervention salutaire a évité un naufrage total et redonne espoir aux joueurs ainsi qu’aux supporters du FC Canon 105.
Ce coup de balai doit servir de leçon à tous ceux qui pensent pouvoir diriger un club comme une entreprise personnelle. La gestion d’une équipe de football ne peut reposer sur la corruption, l’arrogance et le détournement des fonds. Idriss Ngari, par son intégrité et son sens aigu de la justice, rappelle que tout dirigeant doit respecter ceux qui font vivre un club : les joueurs, le staff technique et les supporters.
Le FC Canon 105, grâce à son Président Fondateur, peut aujourd’hui envisager un avenir plus serein, loin des intrigues et des scandales. Espérons que cet épisode marquera un tournant décisif et que plus jamais, un tel chaos ne sévira au sein du football gabonais.
