Les contorsions scandaleuses de Dr. Wenceslas YABA doivent prendre fin, incessamment. Le coordonnateur du Samu social gabonais en fait trop et l’heure est peut-être venue pour les plus hautes autorités de la République de le ramener à l’ordre, avant que la situation n’empire.
Dr. Wenceslas YABA, le coordonnateur du Samu social gabonais manque cruellement de tact dans les choix de communication mis en œuvre par ses soins sur les réseaux sociaux.
Il ne se passe pas un seul jour que la toile ne soit couverte d’images de « nécessiteux », comme il se plaît d’ailleurs à les appeler. Il s’agit de compatriotes, d’ici (Libreville) comme ceux de l’intérieur du pays, que le Dr. Wenceslas YABA se plaît à exposer la misère, l’infortune, la carence, le désarroi.
Pour lui, il est question de montrer les actions « positives » du Samu social gabonais, instrument qu’il dirige. Mais à quel prix?
Il faut comprendre que c’est à celui de l’image de nos compatriotes qui souvent, sont pris par le bout du bras, bon gré malgré, pour venir témoigner les fameux bienfaits du SAMU social.
Il faut dire sans se cacher que Dr. Wenceslas YABA se met quasiment en vedette dans ces vidéos insoutenables qui circulent abondamment sur la toile.
L’homme de BAKUMBA se prend pour le sauveur des « démunis », qu’il présente de façon malicieuse comme les oubliés de la République, de la politique sanitaire pourtant bien pensée par le chef de l’État, exécutée de mains de maitre par son ministre de la santé et des affaires sociales.
Il est temps d’arrêter les bêtises, le fourvoiement et la malice. Le Samu social gabonais reçoit un budget de fonctionnement déduit dans celui de l’État. Pourquoi faire le gros dos sur les réseaux sociaux et se prendre pour « Jésus Christ »?
L’exposition des visages des compatriotes, présentés au plus fort de leur difficile condition de vie est tout simplement monstrueux.
Les pouvoirs publics devraient prendre des mesures qui tendraient à protéger leur image et donc leur intégrité.
Dr. Wenceslas YABA en fait trop, il est peut-être temps d’arrêter cette mascarade.