Sac à main ou sac à mensonge ? la nouvelle arnaque médiatique des Bongo

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Le schéma est clair : une tentative maladroite de détourner l’opinion publique et de ternir l’image des nouvelles autorités en pleine mission de restauration de la dignité et de l’honneur du peuple gabonais. Que l’on soutienne ou non le Président Oligui Nguema, il est évident que ces accusations fantaisistes s’inscrivent dans une stratégie de sabotage de la Transition. Pendant que le pays tente de se reconstruire, certains nostalgiques du régime déchu s’accrochent désespérément à des artifices pour semer le doute et la division.

Mais les Gabonais ne sont pas dupes. Ils savent que ces gesticulations médiatiques ne sont qu’une distraction, un écran de fumée destiné à masquer les vraies questions : où sont passés les milliards détournés sous le règne d’Ali Bongo ? Qui sont les véritables fossoyeurs de l’économie nationale ? Pourquoi ces anciens dignitaires, qui se drapent aujourd’hui dans le manteau des victimes, n’ont-ils jamais eu une once de compassion pour le peuple lorsqu’ils festoyaient sur son dos ?

Cette nouvelle manœuvre n’est qu’un épisode de plus dans la tentative désespérée de certains de revenir au premier plan en jouant la carte du martyr. Mais l’histoire jugera. Et le peuple gabonais, qui aspire à un avenir débarrassé des démons du passé, ne se laissera pas berner par ces stratégies éculées.

Après l’affaire supposée des oiseaux volés chez Ali Bongo, qui n’était en réalité qu’une opération visant à récupérer des biens acquis frauduleusement au nom de l’État gabonais et à mettre ces animaux en sécurité dans un espace public accessible à tous, voilà qu’un nouveau scandale imaginaire fait surface. Cette fois-ci, il s’agirait du prétendu vol de 45 sacs de luxe appartenant à Sylvia Bongo. Une mise en scène grossière qui survient comme par hasard au moment où Ali Bongo entame une nouvelle grève de la faim pour exiger la libération de son épouse et de son fils, prétendument victimes de tortures et de mauvais traitements.

Le schéma est clair : une tentative maladroite de détourner l’opinion publique et de ternir l’image des nouvelles autorités en pleine mission de restauration de la dignité et de l’honneur du peuple gabonais. Que l’on soutienne ou non le Président Oligui Nguema, il est évident que ces accusations fantaisistes s’inscrivent dans une stratégie de sabotage de la Transition. Pendant que le pays tente de se reconstruire, certains nostalgiques du régime déchu s’accrochent désespérément à des artifices pour semer le doute et la division.

Mais les Gabonais ne sont pas dupes. Ils savent que ces gesticulations médiatiques ne sont qu’une distraction, un écran de fumée destiné à masquer les vraies questions : où sont passés les milliards détournés sous le règne d’Ali Bongo ? Qui sont les véritables fossoyeurs de l’économie nationale ? Pourquoi ces anciens dignitaires, qui se drapent aujourd’hui dans le manteau des victimes, n’ont-ils jamais eu une once de compassion pour le peuple lorsqu’ils festoyaient sur son dos ?

Cette nouvelle manœuvre n’est qu’un épisode de plus dans la tentative désespérée de certains de revenir au premier plan en jouant la carte du martyr. Mais l’histoire jugera. Et le peuple gabonais, qui aspire à un avenir débarrassé des démons du passé, ne se laissera pas berner par ces stratégies éculées.

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