Le maire du bonheur, Axel Jesson Ayenoue serait-il aujourd’hui en danger ?

Voici la question que l’on peut se poser après décryptage de la lettre d’avertissement que vient de recevoir  le maire Axel Jesson Ayenoue de la part de Richard Mouangue, un de ses frères camarades du Parti Démocratique Gabonais (PDG), une réaction qui s’ajoute à la vague de soutiens qu’a également manifesté de nombreuses personnalités de la société civile gabonaise à l’endroit du jeune maire .

Ci-dessous, adressée à Axel Jesson Ayenoue, maire au 4éme arrondissement de la commune de Libreville et Secrétaire Général Adjoint de l’Union des Jeune du parti Démocratique Gabonais UJPDG, la lettre de Richard Mouangue, ancien soutien au Président de la République.

‘’Axel Jesson Ayenoue mon frère et camarade, c’est à cet instant même que tu comprends que Brice Laccruche Alihanga est mieux que ce que nous avons aujourd’hui auprès du chef de l’Etat S.E.M. Ali Bongo Ondimba.

En effet, si Brice aurait été encore après du Président, ceux qui te combattent aujourd’hui, n’auraient jamais gagné ce combat. Car je sais combien de fois il aurait apporté son soutien pour la joie que tu as apporté à plusieurs milliers de familles Gabonaises qui ont pris un goût du mariage grâce à ton nouveau style.

Dans d’autres pays du monde, tu devrais être dans toutes les émissions télévisées du pays.

Les gens devraient même te payer les millions de dollars pour fêter leurs mariages. Cependant au Gabon, tous les génies se sont tus au profit des frères dès lobbies.

Lorsque nous apportons un soutien inconditionnel à notre frère Brice LACCRUCHE, vous êtes les premiers à nous juger comme si aimer Brice est tellement incompatible avec l’amour avec le Président.

J’étais dans ton bureau camarade, tes propos ne m’ont jamais intéressé.

N’oublies pas camarade M le Maire, ils ne vont jamais dire que loi dit ceci contre la façon de célébrer le mariage.

Ils vont plutôt dire ceci :<< Le chef de l’Etat a dit ceci …>> Comme si nous étions dans un pays où nous avons perdu les droits basiques.

Camarade n’ose même pas penser que je suis de cœur avec toi car tu me connais honnête envers les gens.

Je suis seulement ce jeune qui n’aime pas l’injustice qui est devenue une monnaie courante au Gabon.

Je sais que tu vas  très mal dormir pendant au moins un mois, mais sache que la peine que nous, tes camarades avons essuyé au B2 et partout avec la torture, est la même peine que ta poche va subir bientôt.

Tu vas seulement que lire l’heure comme nous tous. Bientôt, si tu n’es pas encore informé, tu ne seras plus SGA UJPDG.

Après t’avoir coupé les mariages, ils vont aussi te couper le salaire de UJPDG qui est de 3 millions, et tu vas te focaliser à la Mairie que tu vas gérer jusqu’en 2023 où ils vont seulement te libérer si tu essayes de bouder une seule seconde.

Ainsi va le Gabon depuis que le Président est tombé malade. N’oublies pas frère que nous sommes nous autres comme toi les anciens soutiens du président de la république. Nous connaissons les choses depuis ici même si nous ne disons rien parfois …’’

Allez commence  à lire l’heure

Richard Mouangue l’analyse.

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