La récente diffusion d’une vidéo où l’activiste virulent connu sous le nom de ”Bandecon en Chef” attaque de manière honteuse et sans scrupules l’honneur du président gabonais, Brice Clotaire Oligui Nguema, est un acte d’une gravité inouïe qui ne peut être toléré.
En utilisant des injures et des propos diffamatoires, ”Bandecon en Chef” s’est arrogé le droit de salir la réputation du chef d’État gabonais, sous prétexte de résider hors du pays et de se proclamer réfugié politique. Cette attitude méprisable témoigne d’un profond manque de respect envers les institutions et les autorités légitimes.
Il est impensable qu’un individu, quel que soit son statut, puisse se permettre de ternir l’image d’une personnalité publique, et encore moins celle d’un chef d’État, au nom de la liberté d’expression. L’exil politique ne saurait servir de bouclier pour répandre la calomnie et l’outrage.
Exprimer des opinions critiques est un droit fondamental, mais cela doit se faire dans le respect des valeurs démocratiques et des principes de décence. ”Bandecon en Chef” a franchi la ligne rouge en utilisant des méthodes indignes pour défendre ses idées, dégradant ainsi le débat public et portant atteinte à la stabilité politique de son pays d’origine.
Le magazine Super star, en tant que défenseur des valeurs morales et éthiques, condamne avec la plus grande fermeté les actions de ”Bandecon en Chef”. Nous exhortons les autorités compétentes à prendre les mesures nécessaires pour réprimer de tels comportements irresponsables et préserver l’intégrité des institutions démocratiques.
En cette période où la cohésion nationale et le respect des institutions sont plus que jamais nécessaires, il est impératif de condamner sans équivoque toute tentative de déstabilisation et de diffamation. L’unité et la dignité nationale doivent prévaloir sur les intérêts personnels et les querelles politiques mesquines.
En conclusion, nous appelons à un sursaut citoyen contre la haine et la désinformation, afin de préserver l’honneur et la dignité de notre nation. La liberté d’expression ne saurait justifier l’irrespect et la diffamation.









