Jean Baptiste Obiang Obiang Obame : « Arrêtons la Distribution d’Argent en Espèces au sein des Populations »

Pour Jean Baptiste Obiang Obiang Obame, la soumission forcée des propriétaires agricoles à la politique a eu des conséquences désastreuses sur la société gabonaise. Le développement est freiné, et des comportements corruptibles et l’achat des consciences ont radicalement changé les paradigmes sociaux. Les rapports entre l’argent et la politique ne sont qu’une déclinaison particulière des problèmes plus larges.

Depuis la destruction des plantations cacaoyères et caféières, qui étaient les principales sources d’indépendance des agriculteurs, deux nouveaux phénomènes ont émergé : une course acharnée à la manne financière apportée par les politiques et une paresse généralisée dans les populations rurales. Jean Baptiste Obiang Obiang Obame souligne que l’introduction de l’argent en politique n’a pas seulement paralysé le développement économique, mais a également conduit à une augmentation de la criminalité. La population, accoutumée à recevoir de l’argent facilement, a perdu le goût de l’effort, créant un cercle vicieux de démotivation et de paresse. Cette situation a contribué à la montée de la violence, des tueries, et d’autres phénomènes sociaux dramatiques comme la destruction des familles et les sacrifices humains.

Ci-dessous Jean Baptiste Obiang Obiang Obame, président de l’association ABÈ YENGUIGNE YA FALA.

Pour sortir de cette impasse, Jean Baptiste Obiang Obiang Obame propose trois facteurs principaux pour le développement : le travail, le capital et le progrès technologique. Il insiste sur l’importance de la production agricole, qui devrait constituer la base de l’économie gabonaise. Le progrès technique, l’élargissement du marché et la multiplication des échanges internationaux sont également cruciaux pour la croissance et le développement.

Jean Baptiste Obiang Obiang Obame appelle à un changement radical, à s’éloigner de la distribution d’argent par les politiques et à redonner le goût du travail aux Gabonais. Selon lui, il est temps d’adopter les systèmes politiques occidentaux en rejetant les aspects négatifs et en mettant fin à l’achat des consciences. Il conclut en exhortant les autorités actuelles à se pencher sur cette problématique. Il appelle à une réforme politique profonde où les votes sont basés sur des convictions et non sur des intérêts financiers. Seule une telle approche peut redonner au Gabon le goût de l’effort et permettre un développement durable et harmonieux.

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