Mme Marie-Sylvie HERVO-AKENDENGUE
Candidate déclarée à la prochaine élection Présidentielle de 2023, pour Mme Marie-Sylvie HERVO-AKENDENGUE, il n’est plus question de faire mieux, mais d’aller vers un autre Gabon : il faut une rupture totale.
Bonjour Mme Marie-Sylvie HERVO-AKENDENGUE. Vous êtes la première femme déclarée candidate à la prochaine élection présidentielle au Gabon, pouvez-vous nous dire en quelques mots qui êtes-vous surtout pour ceux qui ne vous connaissent pas du tout ?
Je suis Gabonaise, issue du secteur privé. J’ai débuté ma carrière professionnelle au Canada, cade j’étais après avoir bouclé des études en Sciences Politiques : Relations Internationales, Analyse Politique. Auparavant une Formation en Gestion des Ressources Humaines. J’ai une formation multidisciplinaire avec un pan médical, de commerciale, de marketing, à la base suis Journaliste, Politologue, et Formateur en Communication, et en Relations Publiques. Suivi, au Gabon, dans le domaine de l’Informatique. J’ai été débauché du secteur privé en Conseil des Ministres, où je n’y suis que nommée. Je suis Fonctionnaire, cadre, intégrée depuis octobre 2004 au Ministère de la Justice, Garde des Sceaux, au Cabinet du Ministre. Je suis de l’Administration Générale : Politologue. Je n’ai occupé que des fonctions de Conseiller de Membres du Gouvernement au Ministère de la Justice, aux Relations avec les Institutions Constitutionnelles, aux Eaux et Forêts. Je suis allergique à toutes formes d’injustices, à la médiocrité institutionnalisée dans mon pays, au détriment de la Méritocratie. Je suis contre l’impunité ciblée, et je suis une Féministe incluant nos us, et nos coutumes, afin que la Femme Gabonaise, arrête d’accepter d’être chosifier de façon diverses, afin d’être sur la TABLE DE LA DECISION ! En se formant, en arrêtant d’adhérer, et en dénonçant « la politique du canapé, le droit de cuissage, le parachutage » qui sont des freins énormes à l’émancipation de la femme, qui est à la traine, malgré des avancées que l’on peut noter, et au Mérite. Je connais mes Droits, mais surtout ce qu’est la valeur qu’est la Dignité, ignoré de nombreux de mes compatriotes ! Je suis un Défenseur des DROITS DE L’HOMME.
Vous êtes la première femme à déclarer sa candidature pour la prochaine élection présidentielle au Gabon. Qu’est qui a motivé cette grande décision ?
En effet, depuis le samedi 13 juin 2020, à Libreville, j’ai donné une Conférence de Presse. J’ai fait le choix de venir dans mon pays le Gabon afin de m’épanouir, et apporter ma contribution à son essor. Depuis lors, je suis une victime de violences multiples. Le 16 décembre 2017, j’ai échappé à un kidnapping, un assassinat pour avoir dénoncé la pseudo clinique de la Fondation Sainte Marie de l’Archevêché de Libreville, pourtant connue des autorités compétentes, comme exerçant illicitement depuis 2013, sans agrément, bâtiments hors normes, personnels non qualifiés et autres. J’y ai sorti ma défunte mère, dont je suis l’aînée, le 1èr avril 2015, dans un semi-coma. Elle est décédée après des souffrances à son domicile le 22 juin 2015. Cette structure sanitaire illicite, à son actif, des décès suspects en son sein. En août 2015, j’ai déposé une plainte, après divers rebondissements d’obstructions dû à une Magistrate, qui avait fait disparaitre ma première plainte m’étant constitué partie civile. Cette dernière a été sanctionnée ayant à son actif un lourd passif. J’ai renouvelé ma plainte en décembre 2015, pour avoir mentionné deux (2) ans plus tard, sur les réseaux sociaux, où je suis très active sans être une bloggeuse, mais faisant de la pédagogie, me divertissant, lieu de riches échanges. Mon intégrité physique a été mise en danger en plein journée. Après 5 ans de combat acharné contre vents, et marée, ayant subi, diffamations, pressions diverses de mon entourage immédiat, d’abord. Le Ministère de la Santé, et j’avais saisi le Président de la République pour arbitrage dans ce dossier d’une extrême gravité, le 5 avril 2019, un communiqué de la tutelle fermait (71) soixante et onze structures sanitaires dans Libreville, Akanda, Owendo définitivement, et certaines provisoirement! Quelle victoire pour la Dignité humaine, la Dignité de ma défunte mère réhabilitée ! Avec une plainte à la Police Judiciaire où, j’y ai été auditionné durant (3) trois heures. Les mis en cause, ceux que j’accuse, dont un ancien Ministre, des responsables de cette pseudo clinique n’ont jamais été entendu. La plainte est pendante. Le problème de mon pays, le Gabon, est LA JUSTICE ! Les justiciables sont résignés, désabusés combien de dossiers sans suite! Combien de dossiers d’injustices sociales ! A quand une purge de la Magistrature, comme sous d’autres cieux, oui en Afrique. Où, nombreux sont ouvertement politiciens, où le politique régente, ce pan ! A quand une JUSTICE, à laquelle j’appartiens, indépendante, pour LIRE LE DROIT, et L’APPLIQUER ! Je crois en cette JUSTICE, car il existe des intégrités dans mon pays, bien que pas nombreuses. Et, j’ai eu gain de cause, car MES DROITS, ET MA DIGNITE, on n’y touche pas JAMAIS!
Vous êtes connue pour votre engagement dans la lutte contre la maltraitance de la femme au Gabon notamment en ce qui concerne les harcèlements de tout ordre. Pensez-vous qu’une telle offre politique suffira pour que les gabonais vous amènent jusqu’à la victoire ?
Le 27 décembre 2017, j’ai constaté que mon bureau, avait été défoncé, serrure changée, une violation de mon lieu de travail, de ma fonction, mais d’abord de ma personne. Cela pour avoir dénoncé, pour avoir fait constater par voie d’huissier, c’est ACTE DE BRIGANDAGE, de VANDALISME au sein du Ministère de la Justice, par deux (2) MAGISTRATS ! JE SUIS LA 1ER FEMME, DAME, FONCTIONNAIRE, CADRE, 1ère VICTIME A AVOIR DENONCE « LE SPORT NATIONAL » DANS MON PAYS LE GABON, par le harcèlement moral, psychologique, sexuel, et multiple, bien que les Autorités gouvernementales ne veuillent pas me le reconnaitre officiellement. Tous mes compatriotes, et au-delà de mon pays, le savent. J’ai appelé de tous mes vœux à la création d’un Département en charge des Droits de la Femme, de la Parité, et de la lutte contre les violences faites aux Femmes. Par divers canaux, émissions télévisées sur des chaines publiques qui m’ont fait l’honneur de m’inviter, lors d’interviews que j’ai accordé. Et j’ai saisi la Plus Haute Autorité, à cet effet. Et octobre 2019, ce fut une Victoire avec le Ministère crée en charge de la lutte contre les violences faites aux femmes, suivies en décembre 2019, par d’autres portefeuilles qui lui ont été rattaché. Et un échec avec sa suppression le 17 juillet 2020, preuve que les résistances à s’approprier les violences multiples que les femmes, les hommes, les enfants vivent dans notre pays vient d’abord de l’Exécutif ! Il est d’une urgence qu’un Ministère soit uniquement consacré A LA LUTTE CONTRE LES VIOLENCES FAITES AUX FEMMES qui est un mal profond au Gabon, notre société est MALADE, des MARIE-SYLVIE HERVO-AKENDENGUE, il y en a des milliers qui n’osent pas briser le silence par peur de représailles. Ce que j’ai vécu, et refusé de subir. Il faut une réelle volonté politique, et concrète. Avec en son sein des compétences, et que prenne fin, les nominations, de copinage, d’affinités au détriment de LA COMPETENCE ! A quand la MERITOCRATIE, au détriment de la médiocratie, et à quand L’HOMME A LA PLACE QU’IL FAUT ! ETRE UNE FEMME dans mon pays le Gabon, est UN CRIME, surtout lorsque vous avez un Curriculum en « Béton » ! A quand LA FIN DE L’IMPUNITE CIBLEE. Il n’est pas question de slogans, ça J’ai MON MOT à dire face à c’est mal gouvernance, corruption grand V depuis un plus d’un demi-siècle qui s’explique par le système politique qui est présent à tous les pans de notre société, par des mécanismes huilés, des complicités de faits, des compromissions.
La place de la femme dans les arcanes du pouvoir au Gabon a beaucoup évoluée. Pensez-vous que par ricochet, la condition de la femme gabonaise en générale est prête à changer ?
J’ai créé depuis avril 2019 une Affiliation Numérique : GABON LES FEMMES SAVOIR DIRE NON AUX VIOLENCES FAITES AUX FEMMES sans aucun soutien, sur fonds propres. Nous faisons sous le sceau de la confidentialité de l’écoute, un encadrement juridique, et un suivi par une psychologue agrée. Nous sommes suivi par plus de 34 milles personnes, et avons récemment posé une B. A. une BONNE ACTION de sensibilisation concernant les violences faites aux femmes, aux hommes, et aux enfant, ainsi qu’à l’endroit du COVID-19 qui existe bel, et bien dans notre pays, par la distribution de PACKS SANITAIRES, que des mécènes qui croient en la lutte contre les violences faites aux femmes, CAUSE NOBLE nous ont permis d’obtenir. #LE DROIT DE DIRE NON est notre MARQUE ! Pour la Dignité. Les femmes gabonaises doivent comprendre qu’il n’est pas question de ma victoire, ou de mon combat, MES VICTOIRES SONT POUR LA FEMME GABONAISE pour sa Dignité ! Celles qui ont fait le choix d’être des multiprises, et qui ont bloqué le compteur de l’Emancipation doivent comprendre que le Gabon est en mutation, et que notre société n’est pas figée, que la Femme Gabonaise a soif de s’épanouir ! Que celles qui affectionnent la politique du Canapé, le droit du cuissage qui se sont régénérées doivent l’assumer, et arrêter leur propagande avec de fausses Associations, et plutôt créer des Partis Politiques ! Il n’en existe pas au Gabon ! Je suis Féministe au sens propre du terme. Une FEMME naît d’un homme, elle est donc un être vivant ayant des droits, protections, et privilèges l’Etat doit la protéger face à toutes discriminations au-delà des discours. A compétences égales d’être à un poste de responsabilité sans à subir le droit de cuissage ! La PAROLE m’a été confisquée le 10 décembre 2019, à Libreville, GABON, lors de la Clôture de l’Activisme contre les Violences faites aux Femmes, sous le Patronage de l’Epouse du Président de la République, organisé par l’Autorité du Ministère de la Lutte contre les Violences faites aux Femmes ! Je n’ai jamais eu d’excuses, sauf un propos d’un collaborateur du Ministère cité : « que je ne suis plus intervenue, car le Premier Ministre sortant, devait prendre l’avion, il était en retard » ! Le programme mentionnait, propos d’une victime, et je n’ai pas pris pas la parole ! CE N’EST PAS AUX POLITIQUES DE PRENDRE LA PAROLE A LA PLACE DES VICTIMES ! Les violences n’ont pas de coloration politique, une volonté affichée de me museler ! Le Gabon est à la traine, ce n’est pas à coups de slogans, que les choses avanceront. Ce n’est pas sur la base d’un quota, ou de façon quantitative, donc du nombre que l’on pourra parler d’avancée au Gabon. Lorsque l’allégeance intervient, croyez-vous que les violences multiples, les crimes de sang, les arrestations arbitraires dont les femmes, hommes, enfants sont tues par ces Dames, ou Personnalités, que dîtes-vous ! Une Indifférence que j’ai vécu, seules des (2) Personnalités Politiques des Dames, dont une ancienne Ministre, aujourd’hui Député du Parti Politique au Pouvoir, s’est sentie concernée, le reste ont été indifférentes, n’est-ce-pas leur Liberté, n’ayant pas leur carte d’adhésion du Parti Politique au Pouvoir, une tristesse ! Quand certaines sont citées régulièrement dans les crimes de sang, mais jamais relevé de leurs fonctions afin de cette mettre à la disposition de la Justice. L’ennemie de la Femme est la Femme dans mon pays, car la plupart mal sont mal dans leurs peaux, nostalgiques du Parti Unique, et à leurs fonctions pour tout sauf le Mérite ! Le Monde évolue, le Gabon n’est pas sur la Planète Uranus. La Femme Gabonaise a soif de s’émanciper, et voilà pourquoi elle doit s’approprier la valeur de Dignité, de Respect, se Respecter, afin d’être Respecter. Je peux vous dire que les choses sont en train de bouger. Il est question d’un système politique dans notre pays ! Nous avons le DROIT DE DIRE NON !
La société gabonaise semble ne pas être prête à voter une femme à la présidence de la république. Comment comptez-vous renverser cette tendance ?
Voilà de quoi il est question, le fait d’être une femme n’est pas l’essentiel, c’est d’avoir une vision claire, et non d’une République du village, sectaire, dans laquelle l’impunité est de mise, la répression, et que les Gabonais que nous sommes soyons SPECTATEURS dans notre pays qui possède de richesses nombreuses mises au profit pour certains, et non pour l’ensemble de la population à cause de la corruption qui est une gangrène, le repli identitaire, et l’incompétence qui n’est pas sanctionnée, mais plutôt récompensée depuis des années. J’estime qu’il n’existe pas d’opposition dans mon pays. Il est question d’un système politique, il est question de compromissions, de complicités de faits, et de pacte de non-agression. Et ceux qui prétendent l’être ne se sont pas affranchis de ces gènes ! Il s’agit d’une organisation qui est installée dans tous les pans de notre société, mais dans la mentalité collective. Il faut réinitialiser les cerveaux, et cervelets de la majorité de mes compatriotes. Le Gabon est dans une misère sociale, depuis des années avec une facture indescriptible, chaque jour. A qui incombe, cela ! La crise sanitaire sans précédent du COVID-19, a mis à nu, l’état réel de la Santé publique. Surtout qu’il y a une crise profonde entre les Gouvernants, et la population. Cette dernière ne croit plus en eux, même s’ils disent la vérité !
S’il existait une réelle opposition, elle se serait appropriée dans tous mes combats, elle se serait levée pour ce COMPATRIOTE M. Bernard Christian REKOULA qui se bat pour ses droits, face à son employeur qui l’a fait travailler sans le payer, pour plus de (300) trois millions de FCFA ! Brillant, qui a fait le choix d’apporter son talent pour son pays, et qui aujourd’hui à tout perdu, vivant un cauchemar, et un calvaire, Pourquoi ! Une Injustice de plus. Des mois que ce compatriote a choisi, les réseaux sociaux, comme nombreux d’autres compatriotes les agents d’ex-SATRAM qui sont non pas à plus de (vingt) mois d’arriérés de salaires. Et l’Affaire de Bébé Rinaldi disparu depuis janvier 2020, le Kevazingo gate, mais d’abord les Fêtes Tournantes, les bavures policières, les détenus d’opinion, ceux de la post élection présidentielle de 2016 sur l’étendue du territoire nationale oubliés, sans jugement, d’autres sortis comme Yao, le frère ivoirien grâce à Amnesty International notamment, et des compatriotes aux Etats-Unis, de France, notamment du Gabon, sur les réseaux sociaux, et l’un qui allait régulièrement le voir en prison oublié par son employeur, et son Ambassade qui sortira le 13 septembre 2020, les récentes violences policières au Ministère des Eaux, et Forêts sont inacceptables, et j’en passe. Ce sont des VICTIMES, TOUT comme moi de NOTRE JUSTICE !
Dans quel camp politique peut-on vous situer : majorité ou opposition ?
Il n’y a pas d’opposition, c’est une prise en OTAGE du peuple Gabonais ! Des règlements de comptes, des JE ME TIENS TU ME TIENS PAR LA BARBICHETTE ! Voilà pourquoi je n’ai pas voté en 2016 ! Pourquoi certains Leaders politiques n’ont-ils jamais été inquiété par la Justice Gabonaise, à contrario de leurs, militants, ou affidés ! Le fanatisme de part, et d’autres ne peut apporter le meilleur pour NOTRE PAYS ! Un renouvellement DANS TOUT s’impose ! Une société civile syndicaliste, qui regorge en son sein de politiciens, dans laquelle certains disent défendre les Droits de l’Homme ! La grosse blague, quand ont-ils fait une Conférence de Presse pour exprimer leur indignation pour les violences diverses qu’à vécu Mme Marie-Sylvie Hervo-Akendengue ! JAMAIS ! Une Indignation sélective, est l’apanage de nombreux. JE SUIS GABONAISE, UNE CITOYENNE REPUBLICAINE, et non pour mon village, mes parents, amis, et connaissances, sans oublier les affidés ! Je suis de la Société Civile, tout simplement, et j’ai Mon MOT à dire
Mes compatriotes qui sont hors du Gabon font partis de la diaspora, voilà la définition ! Un amalgame entretenu par des manipulateurs du diviser pour mieux régner, qui assimile ce terme à OPPOSITION ! Ils sont actifs sur les réseaux sociaux, car le mal de mon pays est profond, avec langage ordurier, intimidations, menaces de mort, jusqu’ à user de la nudité de compatriotes comme moyen de chantage politique, sans que les Autorités n’interviennent, ou que les Leaders politiques des partis politiques confondus, et opposition, exigent la fin de ces comportements ignobles, jusqu’au repli identitaire. Ils sont souvent parfois très informer, et comment font-ils pour avoir des informations crédibles ! Mais, au passage, C’EST LE TERRAIN QUI DIRIGE LA MANŒUVRE ! ON NE PEUT DICTER LA CONDUITE A CELUI QUI EST AU VOLANT !
Un dernier mot pour convaincre ?
Il n’est pas question d’un Jeu, il est question de notre Pays, qui est au bord d’une implosion sociale, d’un chaos, il est question que des Femmes, des Hommes prennent leurs responsabilités le moment venu, pas pour au meilleur Gabon, mais pour UN GABON AUTRE, avec des GABONAIS NEUFS, pas seulement des nouveaux visages, des femmes, des hommes INTEGRES qui sont mis en marge de la société qui sont connus, et d’autres pas. Surtout que le Gabon n’est pas la Capitale, avec la fin des titres fonciers aux fonctions. Il est question qu’en 2023, avant ou peu importe qu’une Élection Présidentielle ne peut pas avoir lieu sans une refonte du Code Électoral, des Instances, et par l’introduction du Procès-Verbal Vidéo le PVV, initié par le compatriote Monsieur Meboon Môon Meba Ondo qui en est le promoteur. Il a fait ses preuves en Afrique, et dans la Ngounié, j’y adhère, comme préalable de toutes joutes électorales afin de palier à l’abstentionnisme, aux contestations des résultats, aux tragédies, arrestations. Sans oublié, qu’en politique la Vraie, il existe l’INNATENDUE ! Considérant qu’il est indispensable de REPENSER nos Institutions, chaque fois ne peut pas souffrir de contestations, NOTRE PAYS, nous appartient à tous ! Lorsque que des antagonistes se murent chacun de leurs côtés, UN DIALOGUE est essentiel, dans la réelle politique, avec comme préalable LA VERITE dite ! Le moment venu, je peux vous dire que je la GAGNERAI cette élection, I’M A WINNER ! Si vous saviez tous les soutiens de compatriotes du Gabon, et de la diaspora, et de frères Africains, et autres, du Monde entier qui voit en ma personne plus que l’Espoir ! Trouvez ici LE MAGAZINE SUPER STAR ma gratitude pour l’intérêt porté à l’endroit de ma personne, et bonne continuation à vous. Sans oublier que les mesures barrières sont essentielles face au COVID-19 et que les Autorités nous déconfinent, c’est un échec sa gestion strictement politisée. Nous sommes exténués, avec un Gabon pas en pause, mais à l’arrêt, un chaos programmé à cause de l’amateurisme.
Les Gabonais, dont je fais partis avons soif de Liberté, de Justice ! Il y a les uns, il y a les autres, il y a les ‘’excetera’’, chacun son Destin dixit Mme Marie-Sylvie Hervo-Akendengue #Mon Mot à dire #citoyenne républicaine #candidate déclarée à la prochaine Élection Présidentielle
Mon MOT à dire
Je suis Gabonaise, il est question non pas de faire mieux, mais d’un GABON AUTRE ! D’UNE RUPTURE.