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Flash info : Bitam : Policier ripoux dirige le passage des Bamoune, hiérarchie complice ? Tous les détails bientôt révélés.

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Pendant que le Gabon se démène contre l’émigration illégale, un policier de Bitam a décidé de tenir son propre business. Tranquille comme un poisson dans l’eau, il ouvre la frontière à qui veut… comme si ses chefs regardaient ailleurs. Les noms, méthodes et complices seront bientôt exposés pour que tout le monde comprenne le spectacle de l’impunité.

Pendant que le Gabon affiche des campagnes solennelles contre l’émigration clandestine, un petit entrepreneur en uniforme, à Bitam, a transformé la frontière en son étal personnel. Tranquille, la chemise repassée, il accueille les clients comme un hôte de luxe sauf que son « menu » n’est pas estampillé légal.

Nos sources, inépuisables et follement bavardes, murmurent un nom de marché : les Bamoune revenant du Cameroun seraient ses principaux clients. Ils payent, il facilite le passage service VIP, sans file d’attente, sans papier, avec sourire compris. On croirait presque une agence de voyages, version clandestine.

Et ce n’est pas un délire de comptoir : nos investigations ont déjà mis la main sur plusieurs noms et sur le mode opératoire bien rodé. Des rendez‑vous réglés, des points de passage dédiés, des manœuvres de couverture digne d’un mauvais feuilleton tout y est. Mais attention : nous ne sommes pas des charognards de rumeur. Il manque encore quelques pièces au puzzle pour clouer le bec aux suspects et boucler l’enquête.

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Ne vous y trompez pas : il ne s’agit plus d’un simple agent indélicat qui « s’amuserait ». Les indices ramènent vers la hiérarchie et si l’on en croit ce que l’on chuchote, certains chefs ne se contenteraient pas de regarder ailleurs. Ils protègeraient la boutique. Complicité ? Protection ? Affaire à suivre, et pas gentiment.

Pour l’instant, nous posons les faits sur la table avec humour noir et sérieux : noms en poche, mode d’action décrypté, et seulement quelques détails manquants avant que la machine à révélations ne s’emballe. Quand ces dernières pièces tomberont, attendez‑vous à voir des sourires se figer, des coups de téléphone s’éteindre et des uniformes se raidir.

Restez branchés la suite promet d’être croustillante. Très prochainement, tout va éclater : Bitam va chanter, et pas en chœur. Les spectateurs rient déjà jaune ; les protagonistes, eux, feraient mieux de réviser leur numéro.

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