Vraisemblablement identiques aux bouffons, les artistes gabonais à l’opposé de leurs semblables d’ailleurs ne sont plus que l’ombre d’eux même.
Édingo, Nedj Ford et Philippe Mory morts misérables
Quotidiennement à la recherche d’une légitimité et d’un statut que leur pays, pourtant d’origine ou d’adoption, refuse à leur octroyer (droits d’auteurs, structures de production etc.), ils se retrouvent à vivre comme de véritables clochards tirant le diable par la queue et parfois obligés à se compromettre au sacrifice de leur génie. Pire, ils sont ainsi devenus des victimes de toutes sortes de manipulations de la part de certains esprits véreux du showbiz et de la politique. Lesquels esprits malveillants les poussent même à pratiquer des ignobles besognes à l’instar de l’homosexualité et bien d’autres.
En claire, être artiste au Gabon et mourir misérable’’ n’émeut en réalité personne.
Misérable malgré sa célébrité, Dekombel, le premier humoriste comédien gabonais est mort par noyade dans le lac Anengue
C’est le cas de le dire aujourd’hui mais à qui la faute? À chacun d’apprécier. Mais toujours est-il que’ pour nos artistes afin d’échapper aux contraintes ainsi qu’aux vicissitudes de la vie, ils sont parfois obligés d’aller se ‘’chercher ailleurs’’, afin de pouvoir exercer librement, ce merveilleux don que Dieu leur a donné
Faute de moyen pour se soigner , Nedj Fort est mort à oyem quelques jours après le début de sa maladie
Centres médicaux de proximité : le ministère de la santé et la Mairie de Libreville s’unissent pour leur mise en service. Madame Christine Mba Ndutume Mihindou, […]