L’inconscience humaine a fait de nouvelles victimes mardi 7 février dernier sur la Nationale 1 à Oyane village : Cinq enfants viennent de perdre bêtement la vie.
Ivre de vitesse, une voiture conduite par un chauffeur ‘’fou’’ a mortellement fauchés cinq petits-enfants alors que ces derniers revenaient ttranquillement de l’école.
En effet, le véhicule de marque Toyota land Cruiser n’a pu les éviter les tuant sur le champ à l’amorce d’un tournant mal ensoleillé au village Oyane 4 sur la national 1 à une centaine de kilomètres de Libreville.
Voici une catastrophe de plus et de trop qui remet de nouveau en cause la responsabilité des autorités gabonaise en charge de la sécurité routière quant à l’entretient routier et aux aussi aux mesures coercitives qui, aujourd’hui doivent être renforcées à l’encontre des fous du volant qui à la limite, méritent d’être ‘’terrorisés’’ .
Nécessiter de ‘’terroriser’’ les fous du volant afin de faire cesser cette hécatombe.
En effet, en dehors du système de signalisation et de l’ensoleillement des routes de la nationale qui doivent être renforcés au regard de la recrudescent des cas d’accidents mortels sur les routes nationales, il y a également lieu pour l’Etat gabonais , d’instaurer une loi qui condamne à des très lourdes peines de prison allant jusqu’au retrait définitif du permis de conduire à tous les responsables des cas d’accidents mortels engageant leurs responsabilités : l’Etat doit désormais frapper très fort.
‘’Aux grands mots, des gros moyens’’. Et comme l’avait dit un grand homme d’Etat français : ‘’pour stopper le terrorisme, il faut terroriser les terroristes’’, il faut que les autorités gabonaises ‘’terrorisent’’ désormais les fous du volant afin de cesser cette hécatombe qui ne dit plus son nom.