Elles préviennent des inondations et sont des lieux de reproductions de la faune aquatique, les mangroves sont en proie à une destruction qui de jour en jour devient infernal aux abords des côtes de la capitale gabonaise y compris ses embranchements :
Un phénomène qui semble ne pas trop inquiéter les autorités en charge de la protection de ce patrimoine naturel. Le cas d’un exploitant chinois qui vient de construire ses bâtiments administratifs sur une partie de la mangrove de la Lowé située dans la zone sud de Libreville au quartier Soduco est un scandale.
Le silence complice des autorités malgré les appels incessants lancés par les riverains et les organismes de défense et de protection de la nature augure à un avenir incertain pour ces zones protégées qui dans les années avenirs vont connaitre un désastre écologique.