L’élection présidentielle de 2023 au Gabon est marquée par des allégations de manipulation électorale émises par l’activiste gabonais Stéphane NZENG. Il accuse la famille OCENI, composée notamment d’Ismaël OCENI OSSA, Mohamed OCENI SALIOU, NOURREDINE et Ian NGOULOU, de vouloir perturber le scrutin et de semer le chaos dans le pays. Selon NZENG, ce groupe tenterait d’enrôler des centaines de clandestins expatriés afin de gonfler les listes électorales et influencer le résultat du vote. Toutefois, ces allégations doivent être examinées avec prudence, et une enquête approfondie est nécessaire pour établir la véracité de ces accusations.
Les affirmations de Stéphane NZENG soulèvent de sérieuses préoccupations quant à l’intégrité du processus électoral au Gabon. Selon lui, la bande OCENI-NOURREDINE aurait perdu le contrôle des leviers leur permettant de manipuler le Parti démocratique gabonais (PDG), au pouvoir, et chercherait donc à prendre le contrôle du pays par d’autres moyens. Leur plan présumé impliquerait l’enrôlement de clandestins expatriés sur des listes électorales gonflées, avec l’utilisation de faux papiers d’identité nationaux.
Pour faciliter cette opération, l’activiste prétend que des informaticiens gabonais travaillant à la SOLDE auraient été sollicités pour enrôler ces étrangers dans le but de les faire voter dans des maisons privées, en dehors de la période officielle de vote. Il affirme également que des milliers de faux passeports auraient été fabriqués afin de permettre à ces étrangers déconnectés du tissu sociologique gabonais de voter en faveur d’Ali Bongo, si le plan venait à réussir.
Cependant, il convient de noter que ces allégations n’ont pas encore été vérifiées de manière indépendante, et il est essentiel de préserver la présomption d’innocence jusqu’à ce que les preuves soient présentées. Les affirmations de Stéphane NZENG soulèvent des questions importantes sur la transparence du processus électoral, mais elles doivent être rigoureusement examinées pour déterminer leur validité.
À l’approche de l’élection présidentielle de 2023 au Gabon, les accusations de manipulation électorale proférées par l’activiste Stéphane NZENG à l’encontre de la famille OCENI ont suscité de vives inquiétudes quant à l’intégrité du scrutin. Ces allégations de gonflement des listes électorales avec des clandestins expatriés munis de faux papiers d’identité nationaux exigent une enquête approfondie pour établir la véracité des faits.
Il est essentiel que les autorités gabonaises prennent ces accusations au sérieux et veillent à ce que le processus électoral se déroule sans heurt .