Il y a des histoires qui font sourire… ou grincer des dents. Elise, la Béninoise, avait cru malin d’injurier le peuple gabonais et son président, pour se mettre au diapason de certains compatriotes restés au pays, eux aussi prompts à critiquer sans retenue. Mais sa petite rébellion a eu une fin rapide et sans détour.
Pistée par les services de sécurité gabonais, elle n’a même pas eu le temps de se cacher ou de jouer la carte des excuses. Malgré sa vidéo demandant pardon au peuple gabonais, la décision des autorités a été claire et sans équivoque : elle sera rapatriée dans son pays, sans être jugée pour ses outrages ou son défaut de carte de séjour.
Le plus drôle dans tout ça ? Après avoir insulté le Gabon et ses citoyens, Elise pourrait encore oser parler de xénophobie gabonaise… comme si la clémence de son pays d’accueil était un dû. Une situation qui rappelle que la liberté d’expression a ses limites, surtout quand on est invité à la maison.
