Depuis l’accession de Brice Clotaire Oligui Nguema au pouvoir au Gabon à la suite d’un coup d’État, une transition politique a été mise en place avec pour objectif principal de conduire le pays vers des élections démocratiques. Malgré les efforts visant à restaurer la stabilité et à mettre en place un gouvernement mixte comprenant des représentants de la classe politique gabonaise, de la société civile, des technocrates et des militaires, la presse étrangère ne cesse de lancer des accusations graves et injustes contre cette transition.
La presse étrangère, en particulier la presse camerounaise, se montre virulente et persistante dans sa critique de la transition politique au Gabon dirigée par le General Brice Clotaire Oligui Nguema. Certaines publications vont même jusqu’à encourager la désobéissance civile au Gabon. Cette attitude est préoccupante, car elle met en péril les efforts du gouvernement gabonais visant à ramener le pays sur la voie de la démocratie.
Pourtant, il est surprenant de constater que les médias locaux au Gabon, qui sont généralement prompts à critiquer les hommes politiques du pays de manière acerbe, restent étrangement silencieux face à ces attaques extérieures. La presse officielle, qui devrait normalement jouer un rôle essentiel dans la défense de l’honneur du Gabon, de son chef de l’État et de la transition en cours, semble être en retrait.
On peut se demander où sont les médias soigneusement sélectionnés pour accompagner la communication présidentielle. Le président de la transition est entouré d’une équipe de journalistes chevronnés, capables d’organiser une stratégie de riposte pour faire face aux accusations injustes et protéger la réputation du Gabon sur la scène internationale. Il est crucial que ces médias officiels prennent la parole et rétablissent la vérité afin de contrer les attaques injustes de la presse étrangère.
Les Gabonais sont de plus en plus préoccupés par cette situation, et ils ne comprennent pas pourquoi leur président et leur pays sont traînés dans la boue par une presse mal intentionnée sans qu’une réponse adéquate soit apportée. Alors que le Gabon continue à négocier son retour dans le concert des nations, il est impératif que la presse officielle assume son rôle de défense de l’intégrité du pays et de ses dirigeants.
Il est temps que la presse locale au Gabon prenne la parole et défende la transition politique en cours contre les accusations injustes de la presse étrangère. La crédibilité du Gabon sur la scène internationale est en jeu, et il est crucial que les médias officiels fassent entendre leur voix pour rétablir la vérité et protéger l’honneur du pays et de ses dirigeants.