Dans les couloirs du Ministère du Tourisme, une intrigue épaisse se tisse, semant le doute sur la gestion des Actions du CTRI. Au centre de cette tourmente se trouve le Ministre Pascal Ogowe Siffon, surnommé Paco, qui semble confondre les intérêts du ministère avec ses affaires personnelles liées à Cap Caravane, son entreprise. Cette confusion a engendré un dysfonctionnement manifeste au sein de l’administration.
Paco, délaissant toute humilité, semble avoir placé ses intérêts privés au-dessus des responsabilités publiques. Accompagné de ses fidèles conseillers, dont son conseiller financier, Igoho Charles, et son Directeur de Cabinet, Christian Johnson, il semble concentré sur la gestion d’un budget de 4 milliards alloué par le CTRI pour le développement du tourisme au Gabon. Cependant, au lieu de promouvoir les intérêts de son ministère, des rumeurs circulent selon lesquelles certains membres de son entourage pourraient être impliqués dans des actes de malversation.
Le ministère est actuellement en proie à une atmosphère tendue, marquée par des signes manifestes de désorganisation. En effet, le départ du Secrétaire général, Madame Liliane Ngari, ainsi que celui de plusieurs directeurs et directeurs généraux, a entraîné une accumulation de dossiers en suspens et un défaut de réponse aux courriers. Parallèlement, le Ministre et son entourage semblent davantage focalisés sur des voyages à l’étranger, comme en témoigne récemment sa visite en Afrique du Sud pour l’achat de camping-cars, une activité qui semble déconnectée des priorités ministérielles. Pendant ce temps, les artistes, en tant que gardiens du patrimoine culturel, se retrouvent plongés dans l’obscurité, leur créativité étouffée par l’incompétence et la cupidité des autorités en place.
Cette situation alarmante a attiré l’attention de la population, qui observe avec inquiétude la gestion de son ministère à travers les médias. L’absence d’activité concrète et les signes de négligence administrative sont autant de motifs d’inquiétude. Dans ce contexte, il est impératif que des mesures soient prises pour restaurer l’ordre et la transparence au sein du ministère. Le peuple gabonais, engagé dans un dialogue national visant à renforcer la cohésion sociale, mérite mieux que cette gestion chaotique.
Il faut absolument que le Président de la transition, en sa qualité de garant de la bonne gouvernance, intervienne pour remédier à cette situation et assurer que les ressources allouées au développement du tourisme soient utilisées de manière responsable et au bénéfice de tous.
Source anonyme.